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sionnés que vient de soulever le fameux projet de
loi
Jean Zay démasquent un autre aspect de la question : celui du contrat
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néfice de l’éditeur, cela va de soi. Le projet de
loi
Jean Zay entend mettre une fin à ces pratiques, en limitant à 10 anné
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ompromise ne se rétablira point par quelque truc,
loi
nouvelle ou campagne de propagande. Il s’agit bien plutôt que les écr
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ériel cessera d’être démocratique s’il accepte la
loi
de la majorité. Cette logique fait la nouveauté du daltonisme, encore
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le monde voudrait leur unification. Et quant aux
lois
pénales et aux systèmes fiscaux, je ne vois pas que leur variété ait
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essemblance de Dieu ». Pour eux, « la perte de la
loi
tonale équivaut à la mort de Dieu pour la conscience musicale ». L’at
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e condamner par une application routinière de ses
lois
ceux qui commettent la faute de croire à ses fondements moraux et pol
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de quartier, il écrase ses adversaires, dicte sa
loi
», un peu comme si les grands sportifs imposaient leurs volontés les