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l vise à la plénitude élémentaire, définie par la
loi
, par son astre. L’homme chrétien au contraire, l’homme qui doit être
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e sans mesure naturelle : s’il ne retrouve pas de
loi
interne et de tension par le péché, il n’est plus qu’un être sans des
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c’est leur chœur qui chante une dernière fois la
loi
, au moment où il reçoit la grâce de lui échapper : « Wer immer strebe
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tule que bien et mal appartiennent au règne de la
loi
(de la morale). Et c’est la foi qui en libère, non pas cette « généro
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mais le pardon. La vertu comme le vice naît de la
loi
et s’y réfère. Mais le péché naît où meurt la foi, et meurt là où vit
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n d’arguments pour faire sentir l’absurdité des «
lois
» qui, pour certains intellectuels, figurent la réalité. Une œuvre co
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presque toutes les situations de ce livre ? Cette
Loi
qui nous condamne quoi que nous fassions, ce Juge impitoyable, cette
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eut une armée française puissante, il approuve la
loi
de deux ans. « Staline a raison », affirme l’affiche communiste ; mai
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s nécessaires et solutions d’urgence ; coutume et
loi
abstraite ; création et automatisme ; libéralisme et discipline ; féd
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s de localisation du spirituel, ne connaît pas de
lois
mais seulement des formes. C’est un monde en recréation perpétuelle,
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e, se critique, se légitime elle-même. Elle a ses
lois
, qui se suffisent. Les concepts alors se combinent selon des affinité
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mais, peu ou prou, de chaque individu soumis aux
lois
d’une collectivité délirante. Sur la foi d’affiches officielles prome
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rminé par le bon et le juste — contre eux. Si les
lois
de la morale n’existaient pas, il les inventerait pour les violer. Et
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nser les objets et les formes, les rythmes et les
lois
cosmiques, afin de les parfaire par le Verbe et, finalement, de s’en
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et de l’ordre cosmique, ou bien encore au sens de
lois
fatales et collectives interprétées par un Parti. C’est pourquoi le p
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par des actes libres, elle n’y détermine pas une
loi
d’évolution. Le Moyen Âge ira beaucoup plus loin, non pas dans le sen
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paraît et s’annule. La même raison veut que les «
lois
de l’Histoire », nécessairement déduites d’ensembles étendus, néglige
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d’autre autorité que celle d’un précepteur. Ses «
lois
» ne sont encore que celles de la morale, et sa réalité celle d’un di
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nfini, et dans une société où la technique, les «
lois
économiques », la puissance de l’État, les mouvements de masse, etc.,
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ks qui vivaient par hasard en travers. Mais les «
lois
» révélées par Karl Marx n’ont jamais prévu rien de tel ; elles perme
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d’un devenir fatal, pour nous « ajuster » à ses «
lois
», mais au contraire d’affronter le temps au nom d’un sens qui ne peu
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i » : le naturel tyrannisant (et tyrannisé par la
Loi
) et le spirituel libérateur. S’il est vrai que le langage courant con
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i moi. Le second commandement qui résume toute la
Loi
et les Prophètes : « Tu aimeras ton prochain comme toi-même », suppos
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’Occident ne cherche pas seulement à dévoiler ses
lois
secrètes, mais à se transformer lui-même, en tant qu’il participe au