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d’une souffrance et d’un isolement. Telle est la
loi
du monde, et il est admirable de l’aimer. Et la pensée n’est point so
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imer. Et la pensée n’est point soustraite à cette
loi
, non, la pensée même de Dieu n’y est point soustraite. Car elle s’inc
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antisociales — « géniales » —, puis il édicte des
lois
eugéniques, d’intention manifestement sociale, mais, en puissance, de
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rt en servant son voisin, il n’échappe point à la
loi
, et la loi n’établit jamais ni le contact vital ni l’amour du prochai
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nt son voisin, il n’échappe point à la loi, et la
loi
n’établit jamais ni le contact vital ni l’amour du prochain. Le voisi
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t vital ni l’amour du prochain. Le voisin, que la
loi
bien comprise nous ordonne d’aider dans sa peine, reste un voisin, ne