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des impuissances trop humaines. La plupart des «
lois
scientifiques » qu’on invoque à gauche et à droite pour justifier les
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me, qu’un seul homme s’affirme, et le pouvoir des
lois
diminue aussitôt. Aussi bien convient-il d’opposer un scepticisme mét
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ette pensée sociologique qui voudrait codifier la
loi
d’évolution des « masses » comme si les masses n’étaient pas faites d
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saurait être utilisé, qui ne porte en lui-même la
loi
et l’image de la fin poursuivie. On n’aboutit pas à l’humain en agiss
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mme autant de réalités autonomes, possédant leurs
lois
propres, échappant à notre domination et poursuivant, en dehors de no
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ue tout ce qui se passe dans le monde obéit à des
lois
générales et historiques qui échappent à notre volonté et sur lesquel
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oethe, sans le savoir, ils nous enseignent que la
loi
seule nous conduit à la liberté. Adhérez au déterminisme de l’histoir
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ens, abstraites. Sur quoi peut bien se fonder une
loi
historique ? Sur ce qui a été fait. Toute loi qu’on découvre dans la
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une loi historique ? Sur ce qui a été fait. Toute
loi
qu’on découvre dans la société humaine repose sur le principe démissi
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ne fût-ce que pour faire mentir le proverbe. Les
lois
générales, économiques ou sociales, sont toujours justes, dans la mes
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endre. ⁂ Destin du siècle ou destin de l’homme ?
Loi
historique ou acte personnel ? Irresponsable ou responsable ? Telle e
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et non pas dans la rue, dans l’opinion, dans les
lois
de l’évolution. Le lieu de toute décision qui crée, c’est la personne
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d’être : le prochain. Lorsque les docteurs de la
loi
voulurent éprouver Jésus, l’un d’entre eux se leva et lui dit : mais
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ole, celle du Bon Samaritain. Et le docteur de la
loi
découvrit cette vérité que toute sa religion n’avait pas pu lui faire
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, qui est au fond de notre désespoir. Les grandes
lois
historiques et révolutionnaires peuvent bien nous servir de refuge, d
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du bon plaisir de l’État. Tout au contraire, des
lois
fondées sur la personne sont obligées de tenir compte en premier lieu
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it dire, d’une manière un peu paradoxale, que ces
lois
perdent en puissance à mesure qu’elles gagnent en généralité. À mesur
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ion. — Qu’est-ce que cela signifie : « Fonder les
lois
sur la personne » ? Vous dites que personne égale vocation. Admettons
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t pour tous ces gens votre expression : fonder la
loi
sur la personne ? Vous voyez les absurdités qu’on peut en tirer ! Il
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cela qu’il doit défendre contre l’empiètement des
lois
trop générales. 2. Mais on me dira que la vocation ainsi comprise est
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ersonne c’est l’humain par excellence. Fonder les
lois
sur la personne, c’est assurer la liberté d’action des hommes les plu
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’entendent les chrétiens est imprévisible. Or les
lois
ont pour utilité principale de prévoir. Il y a là une opposition de p
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ctible. Si chacun prétend suivre sa vocation, les
lois
, si détaillées et si particulières qu’elles soient, deviennent forcém
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D’autre part, on peut renverser l’objection. Les
lois
rigides, rationnelles et générales, ne sont pas celles qui assurent l
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un moment donné, le supporter. Au contraire, des
lois
souples, laissant à l’activité des personnes un certain jeu, supporte
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a prévoient en quelque sorte. C’est ainsi que les
lois
anglaises, notablement personnalistes, s’accommodent assez aisément d
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ément de l’objection de conscience, alors que les
lois
rationnelles de l’État français transforment aussitôt cette objection
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charité, à la poésie pure ou à la contingence des
lois
de la nature ! » Mais le marxisme, à la suite surtout des derniers éc
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e chose, c’est assurément par opposition avec les
lois
inéluctables d’une nature tyrannique, entièrement livrée à la nécessi
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tudes de pensée et de vie entièrement soumise aux
lois
du nombre et de la matière, pour ne rien dire de la police et de la d
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endre l’homme irresponsable, obéissant aux seules
lois
que lui révèle la science, nouvelle théologie. Elle tend à rendre les
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us parlons des choses, de leur nature et de leurs
lois
, de leur production, répartition et usage humain, et nous en parlons
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dement de cette égalité abstraite. Car toutes les
lois
que l’on édicte alors (égalité de droits) contredisent aux coutumes d
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es, c’est pour mieux dominer ses moyens. Selon sa
loi
. Mais le moderne dit : « Je gagne » ou « Je produis », ou bien « Je c
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os démissions personnelles : genèse des mythiques
lois
de l’économie, de l’histoire. Lorsque l’homme renonce à créer, son «
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ns la nécessité et le jeu, les combinant selon sa
loi
pour créer un risque nouveau. Le temps de cet homme est plein, et nul
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se trouverait aboli, et la production dégagée des
lois
fatales de la concurrence libérale et de la concentration capitaliste
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tte à des réalités dont elle ignore ou répudie la
loi
interne : la tactique d’un parti, par exemple. Ce n’est pas dans l’ut
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s fondée sur les contraintes du passé, ni sur des
lois
, mais sur l’attente commune et enthousiaste d’un au-delà libérateur.
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es, au nom du mot d’ordre unitaire : une foi, une
loi
, un roi. Et l’on célébrera « la France toute catholique sous le règne