1 1947, Doctrine fabuleuse. Deuxième dialogue sur la carte postale. La beauté physique
1 ouvrir les rapports singuliers qui manifestent la loi intime de ce tableau. Il doit commencer, dis-je, par se soumettre à l
2 1947, Doctrine fabuleuse. Quatrième dialogue sur la carte postale. Ars prophetica, ou. D’un langage qui ne veut pas être clair
2 ématiciens, pour formuler ce qu’ils appellent des lois . Bien. Mais comment obtiennent-ils ces formules ? Par l’examen des no
3 ordinairement contradictoires des mots. Ainsi les lois formulées par la science, ces modèles d’expression claire, se réfèren
4 t exclusifs l’un de l’autre. Le premier serait la loi scientifique. Ses conventions sont la clarté et l’absence de contradi
3 1947, Doctrine fabuleuse. Don Juan
5 rminé par le bon et le juste — contre eux. Si les lois de la morale n’existaient pas, il les inventerait pour les violer. Et
4 1947, Doctrine fabuleuse. Le supplice de Tantale
6 e est ému, où il forme un projet, où il agit, les lois de la chute des corps et de leur inertie, qui sont celles mêmes de la
7 qui sont celles mêmes de la mort, font place aux lois des dieux, qui sont celles de l’esprit ; et des dieux irrités contre
8 grâces de l’esprit (comme je voudrais nommer les lois spirituelles), répond un châtiment dont on croit deviner qu’il n’est
5 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
9 vité, clercs au pas ou stérilisés, guerre hors la loi , sécurité d’abord. Nous apprenons à vivre, et non plus à mourir : cet