1
ouvrir les rapports singuliers qui manifestent la
loi
intime de ce tableau. Il doit commencer, dis-je, par se soumettre à l
2
ématiciens, pour formuler ce qu’ils appellent des
lois
. Bien. Mais comment obtiennent-ils ces formules ? Par l’examen des no
3
ordinairement contradictoires des mots. Ainsi les
lois
formulées par la science, ces modèles d’expression claire, se réfèren
4
t exclusifs l’un de l’autre. Le premier serait la
loi
scientifique. Ses conventions sont la clarté et l’absence de contradi
5
rminé par le bon et le juste — contre eux. Si les
lois
de la morale n’existaient pas, il les inventerait pour les violer. Et
6
e est ému, où il forme un projet, où il agit, les
lois
de la chute des corps et de leur inertie, qui sont celles mêmes de la
7
qui sont celles mêmes de la mort, font place aux
lois
des dieux, qui sont celles de l’esprit ; et des dieux irrités contre
8
grâces de l’esprit (comme je voudrais nommer les
lois
spirituelles), répond un châtiment dont on croit deviner qu’il n’est
9
vité, clercs au pas ou stérilisés, guerre hors la
loi
, sécurité d’abord. Nous apprenons à vivre, et non plus à mourir : cet