1 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. I. Protohistoire d’un continent sans nom
1 conformée, justement, par la pensée, l’art et les lois de ces deux peuples de la mer du Sud, mystérieusement inaccessible au
2 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
2 t l’Asie. État puissant par son organisation, ses lois , ses arts, ses richesses, État maritime et colonisateur, la Crète des
3 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VI. Le concept géographique
3 iques, il faut encore l’attribuer à la nature des lois auxquelles ils sont soumis. La plus grande partie de l’Asie étant gou
4 i maîtres de leurs volontés, ni gouvernés par les lois qu’ils se sont données, mais au contraire, soumis à des volontés abso
5 es hommes braves et courageux, la nature de leurs lois doit s’ajouter à la répugnance de donner essor à leur courage. La plu
6 s Grecs et des Barbares qui se gouvernent par les lois qu’ils se donnent, n’obéissent point à des tyrans, et qui par-là même
4 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VII. De la géographie à l’histoire
7 d’accord pour reconnaître une même Loi30. Cette loi serait le monothéisme chrétien, qui, selon Celse, détruirait les dive