1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Le sentiment de l’Europe centrale
1 mais la repousse comme le signe d’un manque à la loi . Il y a une contrepartie. Celui que hante le sens du péché — c’est-à-
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
2 anique, qu’elle redoute encore, mais qui forge sa loi au secret de son désespoir… Bastions de l’Occident ? — Duquel ? Ou b
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
3 cal qui domine l’ensemble et le compose selon les lois d’une plastique exubérante. Quand je dis que j’observe, je n’observe
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
4 rs, qui va venir un beau jour, de Paris, faire la loi dans notre village ? 19 février 1934 Les gens : récit d’une jo
5 e, se critique, se légitime elle-même. Elle a ses lois , qui se suffisent. Les concepts alors se combinent selon des affinité
6 t pour lui d’une nécessité tout intérieure, d’une loi comparable à celles qu’il a su découvrir dans les plantes : loi de la
7 à celles qu’il a su découvrir dans les plantes : loi de la forme organisatrice de l’individu autonome. ⁂ Inverser les donn
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
8 tournée se présente comme un séducteur, c’est la loi du genre, et cela rend les échanges bien pauvres…) Quand nous nous so
9 oir la chance, avoir la veine, c’est démentir les lois les plus fondamentales de notre science la plus élémentaire et la plu
10 l’homme : d’ailleurs elle ne le pourrait pas. Ma loi vaut tout juste pour moi. (Et s’il fallait tenir compte de toutes les
11 à-soi) cessent d’agir et de s’efforcer contre les lois qui les limitaient normalement. L’homme cessant de croire à sa loi — 
12 aient normalement. L’homme cessant de croire à sa loi — à ses superstitions incomparables — se met à croire de la même mani
13 parables — se met à croire de la même manière aux lois et aux pouvoirs qu’il aurait dû combattre. (Volonté et Pouvoir des ma
14 nthousiasme communiste. La plupart des fameuses «  lois  » économiques ou sociologiques que nous pensons avoir récemment « déc
15 llet 1930. Tous ceux qui ne bénéficient pas de la loi des assurances sociales ont intérêt à assister à la conférence. L’org
16 l’État — et cela veut dire : de ceux qui font les lois sans rien savoir des situations locales. Parfois ils proposeront quel
17 es chemins de fer et l’administration ; faire des lois régionales pour la viticulture ; mettre en commun les terres d’un pet
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
18 expression directe d’une carence du sens civique, loi générale qui se vérifie dans tout pays totalitaire. D’autre part, le
19 ’a révélée à leur raison. Ils vous expliquent les lois biologiques de la race, la nécessité de l’eugénisme, le fonctionnemen
20 irez vous ferait décapiter : voici le texte de la loi , je n’invente pas. Et vous, rêveurs d’une liberté sociale assurée par
21 st qu’une attitude de profond respect en face des lois de l’Harmonie et du Beau… Les hommes qui n’ont pas notre foi, ou ne p
22 nt beau jeu de prouver qu’on ne peut accepter les lois sans accepter l’esprit qui les édicte… Car telle est la misère du tem
23 és, promesses de grâce, credo. Mais au lieu d’une Loi sainte et dont les exigences amènent au repentir et à l’humilité, on
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Conclusions
24 demment, il sera toujours possible d’invoquer les lois économiques, les forces relatives des partis et des classes avant 193
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
25 tte à des réalités dont elle ignore ou répudie la loi interne : la tactique d’un parti par exemple. Ce n’est pas dans l’uti
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le bon vieux temps présent
26 tmosphère, par le charme qu’elle fait régner. Des lois adroites et humaines ne suffiront jamais à l’assurer : il y faut ce c
27 ur du siècle mécanique, accepter pour un temps sa loi , en préservant, s’il se peut, dans nos cœurs, ce droit d’aimer, cette
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
28 mesuré et un temps qui ne soit rythmé que par les lois intimes du sujet fascinant. Chaque œuvre veut et crée son temps à ell
11 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
29 ns le monde de la tricherie. (La lutte contre les lois est menée par Hitler ; la lutte contre les conventions par l’intellig
30 ses droits). La « guerre des nations » abolit ces lois . Guerre totale : tout élément de jeu réglé a disparu, la victoire n’e
31 — Devant cette dissolution générale des règles —  lois , conventions et formes rhétoriques — l’époque moderne demande à la sc
32 ciétés contractuelles. — Décadence du respect des lois . — Sociétés modernes imaginées comme sans orthodoxie : paradoxe insou
33 uis de régler les relations sociales conscientes ( lois , morale), enfin de les orienter vers un but ou principe commun, trans
34 on ingéniosité à faire des arts, des armes et des lois , de la politique, des robes et une littérature, plus quelques âmes de
12 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
35 me, sauf les mouettes. Qu’on ne me parle plus des lois économiques et de leurs fatales réalités : car ce sont les réalités d
13 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
36 gnifiant que les juifs n’étaient pas désirés. Des lois « contre les préjugés de race » ayant passé cet hiver dans l’État, la
37 ite, observe, et dont elle décrète les prétendues lois . Mais tout l’effort de l’avenir sera d’inventer, par réaction à ce qu
38 les preuves les plus éclatantes de la réalité des lois de la science, je sais ce que je dis. Nous calculons les mouvements d
39 , tout se passe anarchiquement dans le monde. Les lois ne servent que de prétextes. On ne les respecte pas, on pourrait s’en
40 de vue : la science n’est qu’une mythologie, ses lois et sa matière elle-même sont de purs mythes, et n’ont ni plus ni moin