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oyen de commander à la nature, en obéissant à ses
lois
— imperare parendo. Mais, à mesure que cet impérialisme humain se fai
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ar l’addition des ressources, des coutumes et des
lois
au sein d’un territoire délimité, dès lors sacré ; le phénomène de la
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er la limitation des naissances. À la Martinique,
loi
française interdisant, jusqu’en 1968 toute propagande et la vente des
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de la technique. Selon Dennis Gabor, la première
loi
de la Technologie s’énonce ainsi : « Tout ce qui peut être fait le se
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é privée ou d’un service d’État qui se déguise en
loi
économique ou en nécessité technique. On dirait que tout le monde le
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ment immortelles au végétal et à l’animal dont la
loi
de développement inclut la corruption, la biodégradation et la mort.
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r péché contre l’ordre du monde, qui est aussi la
loi
du Père, et voués au « retour à la poussière d’où ils ont été pris ».
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pulsions animiques prises dans les serres et les
lois
de la matière inanimée. Mais n’est-ce pas l’homme lui-même, bénéficia
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la nature et la vie, voire à s’inspirer de leurs
lois
et à mimer leurs procédés, si loin que nous soyons encore de les comp
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Je propose, au contraire, que l’on s’inspire des
lois
de la croissance vivante, donc réglée par ses fins particulières dans
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t pas des grands « impératifs techniques », des «
lois
» que l’on prétend découvrir, ni de la « marche inexorable du progrès
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erre Samuel nous informait tôt après de ce que la
loi
du 30 octobre 1968 en France, « limite à 50 millions de francs la res
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siques, des sciences chimiques, et des prétendues
lois
économiques, sources de la puissance et de la sécurité. L’homme est e
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nstituante décide de faire traduire les nouvelles
lois
dans les divers idiomes non français usités dans le royaume, à savoir
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gel énonce le premier ce qu’il faut tenir pour la
loi
constitutive de l’État-nation, lorsqu’il écrit : « Les nations divisé
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ielle. Celle-ci va se propager d’abord sans autre
loi
que celle d’une sorte de sélection darwinienne. Mais l’État trouvera
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mpôts, des réquisitions de temps de guerre et des
lois
contre les cartels, servitudes compensées par l’apport du très gros c
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perdre la face, en cédant pour la paix devant une
loi
supérieure à leur souveraineté absolue : ils y perdraient du même cou
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et de répression normalement exercés par l’État (
lois
, règlements, fiscalité, police) ont tendance à se faire d’autant plus
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ne peut plus exercer le pouvoir dans le cadre des
lois
existantes. Le système est à bout de course. Cela n’est pas nécessair
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re indiquée ici. La vulgarisation de la notion de
loi
(au sens déterministe et mécaniste que lui donnait la science du sièc
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bdication des responsabilités personnelles. Les «
lois
» que nous multiplions avec une hâte suspecte dans des domaines encor
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és économiques, la production industrielle, leurs
lois
et leurs nécessités, en un mot, le matériel et non le spirituel, comm
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miné, si nous laissons les choses aller selon les
lois
de l’inertie de leur mouvement. Ils nous réveillent et nous incitent,
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les calculs. Mais, du même coup, se vérifie cette
loi
: l’exactitude des prévisions quantitatives mesure la démission de l’
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e ne le prolonge en création ; soumise aux seules
lois
de la matière (mécaniques et physiques) qui tendent toujours à l’unif
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qui prétend prévoir pour lui le soumet aux seules
lois
du passé, et l’aliène. Pour une prospective intuitive L’avenir
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dans l’histoire un jour ou l’autre. Telle est la
loi
de l’évolution humaine — et du même coup, de la prospective intuitive
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objet, un objet parmi d’autres, soumis aux mêmes
lois
, et par-là prévisible, mais dans cette mesure même, déshumanisé. On p
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l’avenir est notre affaire. Et non pas celle des
lois
mythiques derrière lesquelles nous essayons de nous cacher, et qui ne
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gue semble disparaître, l’homme s’abandonne à des
lois
géométriques. Un jeu de chiffres d’horlogerie calculé une fois pour t
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oumis plus subtilement encore que son travail aux
lois
d’une offre et d’une demande sans rapport avec ses désirs réels, et d
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nce, abandonné à la lutte tragique et absurde des
lois
économiques et des exigences les plus rudimentaires de son corps. » I
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ophétiser. Car la technique n’innove pas selon la
loi
des choses — domaine du prévisible — mais selon l’appel de nos finali
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ge, de domaine ; — de la connaissance (logos) des
lois
de la maison au sens d’habitat, de cadre de vie ou environnement ; —
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in, l’on disposera tout dans la cité — éducation,
lois
et morale — en vue de ce progrès seul authentique qui est le progrès
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uverain. On lui a trop répété que l’État fait les
lois
, fait la guerre, lève les impôts et prépare notre avenir, qui sera nu
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les autres. Cette faible durée qui semble être la
loi
, ou plus rarement ces échecs à moyen terme, contrastent avec la longu
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, et comme préétablie avec les buts premiers, les
lois
et les coutumes de telle d’entre elles, où nous serions tentés d’élir
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e Henri Desroches, illustrant on ne peut mieux la
loi
de l’impossible durée d’une communauté au-delà de la génération des f
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144 (1 Cor. 14. 8.) Et nul besoin non plus que la
loi
de l’une ne s’étende à toutes les autres, même et surtout si elle est
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et — je l’ai dit plus haut — non gouvernées. La
loi
de Jean-Jacques Les dimensions des communautés sont de deux sortes, q
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à 3). Jean-Jacques en vient ainsi à formuler une
loi
de la participation qu’illustrent les exemples des petits cantons sui
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chiffres viennent illustrer ce que j’appelle « la
loi
de Jean-Jacques » selon laquelle le nombre des magistrats est en rais
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guerres, c’est-à-dire de bêtises démesurées. Une
loi
règle ces phénomènes. Tout ce qui s’est fait de grand, s’est fait par
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centrale se formait l’opinion, se discutaient les
lois
, se décidait la destinée de toute communauté sociale, civique et poli
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, opposer la légalité. Oui, je sais, il y a cette
loi
sur l’énergie nucléaire qui donne tous pouvoirs au Conseil fédéral, e
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nucléaires, et aussi de leur prix fantastique. La
loi
qu’il a votée dans l’ignorance, le peuple peut la rapporter demain. M
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x qui ont gagné nos premières libertés contre les
lois
féodales de leur temps. Aujourd’hui, il vous faut gagner, à Kaiseraug
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Grecs anciens — le fait de se donner ses propres
lois
— et ce qu’on nomme aujourd’hui l’autogestion — le fait de décider so
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e chose, il veut même à peu près le contraire. La
loi
française sur la régionalisation me paraît avoir été faussée au dépar
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u’à la seule prétention totalitaire. Une foi, une
loi
, un roi comme le disait la Ligue des catholiques français au xvie si
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nous sera donnée par l’observation passionnée des
lois
de la vie sous toutes ses formes, non par le ministère de l’Intérieur
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à tout le continent. Rien n’empêchera, selon les
lois
en vigueur de nos États démocratiques, ces régions et associations de
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nquis par la force ou la ruse, non seulement à la
loi
des vainqueurs mais à leurs structures de pensée et à leurs modes de
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ment l’ambitionnent : sa structure leur dicte ses
lois
. Quant au « grand public » de la droite et aux « masses » de la gauch