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nous avons saisi par intuition le principe et la
loi
d’une structure que nous pouvons, dans la nature ou dans la vie de l’
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lle parvient ensuite à les relier en énonçant des
lois
prétendues générales. Ces lois sont en réalité locales par rapport à
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er en énonçant des lois prétendues générales. Ces
lois
sont en réalité locales par rapport à l’ensemble de notre réalité. Pa
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t à l’ensemble de notre réalité. Par exemple, les
lois
mathématiques énoncées par notre raison cessent aussitôt d’être valab
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au plan moral, ou au plan spirituel. De même les
lois
économiques sont souvent en contradiction avec les lois biologiques,
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conomiques sont souvent en contradiction avec les
lois
biologiques, etc. Or loin de s’effrayer et de se scandaliser de caren
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rteur de ses lumières à lui. Et aussitôt, par les
lois
mêmes de l’être, il est « tombé » du Ciel, qui est le Royaume où l’in
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i-même, en dépit des interdictions que posent les
lois
de la Création, l’ordre divin et la nature de l’homme5. Et voici le d
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in ; en d’autres termes, c’était tricher avec les
lois
de la Création, ou les utiliser à contre-fin. La suite du récit montr
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r pécher c’est tricher avec l’ordre, opposer à la
loi
divine nos dérogations égoïstes, fautes de calcul et courtes vues int
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songe proféré nous lie. La liberté jouée selon la
Loi
s’accroît ; jouée contre la Loi se perd. Plus elle s’accroît, plus gr
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té jouée selon la Loi s’accroît ; jouée contre la
Loi
se perd. Plus elle s’accroît, plus grand paraît l’enjeu, et plus gran
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a pas de crime possible là où il n’existe pas de
Loi
. Peut-être ici découvrons-nous la raison dernière du mensonge : c’est
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e moderne (et chacun de nous en lui) se rend à la
loi
de Satan. Mais, du même coup, il devient incapable de connaître celui