1
mais la repousse comme le signe d’un manque à la
loi
. Il y a une contrepartie. Celui que hante le sens du péché — c’est-à-
2
cal qui domine l’ensemble et le compose selon les
lois
d’une plastique exubérante. Quand je dis que j’observe, je n’observe
3
Europe, qu’elle redoute encore, mais qui forge sa
loi
au secret de son désespoir… Bastions de l’Occident ? — Duquel ? Ou bi
4
tmosphère, par le charme qu’elle fait régner. Des
lois
adroites et humaines ne suffiront jamais à l’assurer : il y faut ce c
5
ur du siècle mécanique, accepter pour un temps sa
loi
, en préservant, s’il se peut, dans nos cœurs, ce droit d’aimer, cette
6
me, sauf les mouettes. Qu’on ne me parle plus des
lois
économiques et de leurs fatales réalités : car ce sont les réalités d
7
ce émanée de ce Conseil ne peut acquérir force de
loi
, avant d’avoir été soumise à l’examen d’un Comité composé du Conseil
8
at toutes les fois qu’il s’agit d’établir quelque
loi
nouvelle, ou de faire des changements aux anciennes. Ce corps est une
9
qu’il appartient de proposer et de promulguer une
loi
». Quant à l’esprit des lois pénales, Coxe l’estime « d’une extrême d
10
et de promulguer une loi ». Quant à l’esprit des
lois
pénales, Coxe l’estime « d’une extrême douceur », et les peines sont
11
que la liberté des individus est protégée par les
lois
de ce pays avec autant de sollicitude et d’efficacité que par celles
12
vers une carrière d’homme politique ou d’homme de
loi
, dans un style dignified à l’anglaise. Le ministère pastoral le condu