1 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
1 nt tout d’un coup avec un signe de la main, un so long , un bye bye négligent… Je m’étais à peine habitué, non sans plaisir,
2 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
2 ixée pour tous les cas et automatiquement par une longue tradition. Leur opposition reste fluente, mal définie. Elle ne se cri
3 és. Après quoi le Sénat fera comparaître, pour de longues séances d’enquête, les responsables de ce Board. Et ainsi de suite, j
4 onsacrera le plus clair de son génie à rédiger de longs rapports prouvant qu’elle est indispensable. Ici et là, quelques éner
3 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
5 de correspondants spéciaux publiés sous forme de longues dépêches ; de commentaires ou « colonnes syndiquées » (qui paraissent
6 ans un collège du Vermont. Glenway Wescott habite Long Island. À New York même, on ne les voit qu’en passant. Et je crois qu
7 succès immédiat, ou quelque action profonde et à longue échéance. Mais les plus grands, et de tout temps, sont ceux qui ont r
8 chamarrés des insignes de leur grade académique, longs capuchons rouges, jaunes, bleus ou violets, attachés sous le rabat et
9 t le continent. Imaginez Roosevelt prononçant une longue prière à la radio, la veille de l’élection présidentielle ; les journ
4 1947, Vivre en Amérique. Vie privée
10 re, comme chez nous, la douloureuse rupture d’une longue intimité, celle-ci n’existant pas en règle générale. Aux yeux de la m
5 1947, Vivre en Amérique. Épilogue. La route américaine
11 ont les phrases fragmentées s’échelonnent tout au long des superhighways. « Perdez une minute, épargnez une vie !… Gardez vo