1
l’un des éditeurs récents de la légende : tout au
long
du Roman, Tristan paraît physiquement supérieur à tous ses adversaire
2
t moi, moi-même qui l’ai composé… Et je l’ai bu à
longs
traits de délice !… 11.L’amour réciproque malheureux Passion v
3
. — Tristan revient déguisé en fou ; s’éloigne. —
Longue
séparation, mariage de Tristan. — Iseut approche et Tristan meurt. Pu
4
t. Puis mort d’Iseut. Résumons encore : une seule
longue
période de réunion (l’aspre vie) à quoi répond la longue période de s
5
période de réunion (l’aspre vie) à quoi répond la
longue
période de séparation (le mariage de Tristan). Auparavant : le Philtr
6
semble du phénomène courtois Revenant après de
longues
années sur les problèmes soulevés par les pages qui précèdent, j’épro
7
mme un rituel. Ce sont Mesure, Service, Prouesse,
Longue
Attente, Chasteté, Secret et Merci, et ces vertus conduisent à la Joi
8
ute initiale est douloureusement rachetée par une
longue
pénitence des amants. C’est pourquoi le roman finit « bien » — au sen
9
es mains ne fut pas « blanc », mais consommé. Son
long
poème inachevé — il nous en reste près de 19 000 vers, mais la mort d
10
, la mort n’est plus que le châtiment de ses trop
longues
complaisances. C’est la passion, c’est sa propre passion, qu’il châti
11
n’ait plusieurs fois « brûlé ». Il consacre deux
longs
chapitres à l’amour en Provence au xiie siècle, et reproduit le code
12
it l’époque du happy end : tout devait aboutir au
long
baiser final sur fond de roses ou de tentures luxueuses. Or cette fig
13
prend d’Elissent, déjà fiancée à Girard. Après un
long
débat, Girard consent à céder Elissent, à condition qu’il cesse d’êtr
14
jeu l’on est en train de jouer. Ceci m’amène à ma
longue
querelle avec les historiens du Moyen Âge. Réplique à mes censeurs
15
per mort li respon. » 230. Ce senhal qui en dit
long
désigne peut-être ici Aliénor d’Aquitaine, ou Marguerite de Turenne,
16
our dans L’Être et le Néant (1943). Presque aussi
long
à lui seul que mon livre, il n’en est jamais loin par sa problématiqu