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est visible dans ce visage décomposé en ombres et
lueurs
lentement mouvantes, — un seul œil par où toute l’âme regarde et supp
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arbarie — je les vois s’élever rayonnants dans la
lueur
éternisée d’un soir d’été, après l’orage, avant la nuit, dans une glo
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a vérité n’apparaît que dans cet environnement de
lueurs
fuyantes, d’activités apparemment désordonnées, de phrases entendues
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t éclat qui doit consumer toute chair. Dans cette
lueur
suspecte, risque un jour d’apparaître la face réelle de la Terre. Et
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r de tous les jours. Comme il parlait encore, une
lueur
d’aube apparut et grandit autour d’eux. Toutes choses replongées dans
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devenaient forts et s’attendaient à l’éclat d’une
lueur
encore plus vive. Par degré le Grand Jour éclatait, toujours plus vas