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ond et la ruine. Mais certes, il est temps qu’une
lueur
de conscience inquiète quelques chefs, montre à quelques meneurs aveu
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fumées sur un paysage d’hiver et soudain sous la
lueur
d’un incendie, deux visages tordus de passion. Cette fin est admirabl
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e cendre où longtemps encore palpiteront de pâles
lueurs
réminiscentes. Ce sont les quatrains du temps de la folie, poèmes vér
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dure de l’horizon s’oppose au ciel qui retire ses
lueurs
. Ciel blanc, où très peu d’or rose s’évanouit… Le train serpente dans
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ors, et que, vers le soir, tu t’éveilles dans une
lueur
jaune, ne sachant plus en quel endroit du temps tu vis, — c’en est fa