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arbarie — je les vois s’élever rayonnants dans la
lueur
éternisée d’un soir d’été, après l’orage, avant la nuit, dans une glo
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a vérité n’apparaît que dans cet environnement de
lueurs
fuyantes, d’activités apparemment désordonnées, de phrases entendues
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de encore devant ce papier blanc, où j’écris à la
lueur
d’une lampe à pétrole. Pourquoi sommes-nous là, quelque part, loin d
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du Jura sur un ciel tourmenté où je guettais des
lueurs
. Quelques camions ont passé sous la fenêtre, tous feux éteints, monta
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brume qui nous serrent, le reflet de nos propres
lueurs
. Je me suis enfermé dans ma cabine. Je constate que j’y puis écrire s