1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
1 nale sur le globe… La République exercera, par la lueur de ses idées, par le spectacle d’ordre et de paix qu’elle espère donn
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
2 venir, qui surgit ; sur sa musique est épandue la lueur crépusculaire d’une éternelle déception, et d’une éternelle et errant
3 ’une éternelle et errante espérance, — cette même lueur qui baignait l’Europe alors qu’elle rêvait avec Rousseau, qu’elle dan
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
4 s couleurs incompatibles, éclairant d’une étrange lueur contradictoire l’agonie de l’âme européenne. … Maintenant, sur une im
5 es signes donnent à penser que se mêlent déjà les lueurs incertaines d’un crépuscule du matin. Le redressement spirituel qui s
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
6 e serait de la folie de ne pas tenir compte de la lueur qui s’offre à nous, car la lumière projetée sur notre avenir par le m