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. Le long de la crête des forêts, une rougissante
lueur
se déplace de l’Occident vers l’Orient. 1926. En 1945, tous les chât
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dure de l’horizon s’oppose au ciel qui retire ses
lueurs
. Ciel blanc, où très peu d’or rose s’évanouit… Le train serpente dans
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ors, et que, vers le soir, tu t’éveilles dans une
lueur
jaune, ne sachant plus en quel endroit du temps tu vis, — c’en est fa
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une panne d’électricité, et il dut profiter de la
lueur
des réverbères de la rue Saint-Placide pour écrire près de la fenêtre
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avons trouvé des noix et bu un verre de vin, à la
lueur
d’une bougie. Heureux de nous retrouver chez nous, dans notre campeme
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s terrasses, la colline plus riche d’ombres et de
lueurs
doucement étagées. Et les lointains de plaine évoquent l’instant de l
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éveillons. Une âcre fumée remplit la chambre, des
lueurs
d’incendie passent devant la fenêtre. Je me précipite : ce sont les d
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at de fièvre. C’est une divagation souterraine de
lueurs
et de visages superposés dans les vitres fuyantes, c’est un fracas ry
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plus rapide, mais par longs bonds soudains d’une
lueur
à l’autre, obscur lui-même, populeux et canaille avec des îlots de lu
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au crépuscule traverse la cour du Louvre dans la
lueur
soudaine de grandes flammes jaillies des guichets 65. À l’Opéra, les
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arbarie — je les vois s’élever rayonnants dans la
lueur
éternisée d’un soir d’été, après l’orage, avant la nuit, dans une glo
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a vérité n’apparaît que dans cet environnement de
lueurs
fuyantes, d’activités apparemment désordonnées, de phrases entendues
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de encore devant ce papier blanc, où j’écris à la
lueur
d’une lampe à pétrole. Pourquoi sommes-nous là, quelque part, loin de
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du Jura sur un ciel tourmenté où je guettais des
lueurs
. Quelques camions ont passé sous la fenêtre, tous feux éteints, monta
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brume qui nous serrent, le reflet de nos propres
lueurs
. Je me suis enfermé dans ma cabine. Je constate que j’y puis écrire s