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étant bien celle de ses vœux, la pierre se mit à
luire
davantage ; et davantage encore il l’aimait, plus il luttait contre l
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er secret de son éclat. Et maintenant, ma pierre,
luis
de ton propre éclat ! Qu’une fois au moins je te contemple en mon rep
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it — grande était sa douleur — la pierre se mit à
luire
sous la cendre, et le grand feu flamba soudain toute la pièce. Il dit
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ute la pièce. Il dit à sa pierre : — Ô ma pierre,
luis
dans le feu ! Je ne puis te toucher, mais la chaleur est bonne. Tout
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éclatante. Et vois : quand il était heureux, elle
luisait
d’une froide splendeur, et quand il était triste, elle était consolan