1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
1 le reflet rouge de ses yeux parmi les troncs qui luisaient , faiblement, vers le cœur profond du bois. Et je croyais m’enfoncer e
2 la terre noire, des mousses. Des fils d’araignée luisent et des brindilles tombent sur mes mains, écorces, chenilles. Une bouf
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Préambule
3 ’ouest. Sur la dernière lande, la dernière maison luit doucement. Nous voyons de loin sa façade blanchie, où les volets d’un
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
4 lourds et rapides rasent les terres brunies, font luire là-bas une dernière prairie verte, étinceler un tas de sel, puis se p
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
5 de sang sur le seuil de la remise. Un beau soleil luit sur ce lendemain de bataille. Pendant des heures, la petite chienne M
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
6 La rivière, sillonnée de remorqueurs toussotants, luit d’un éclat d’étain pâle. Les ponts immenses, vers Brooklyn, font une
7 s s’éteignent, le sommet des gratte-ciel se met à luire sous la lune, au-dessus des premiers nuages. Une grande nuit s’ouvre