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s décidément incompatibles avec nos plus récentes
lumières
? Ou bien doit-elle, tout au contraire, assumer le scandale, montrer
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rre Girard, il faut avoir aimé Charlot, celui des
Lumières
de la Ville et du Cirque. Les héros de Pierre Girard sont de doux ahu
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contrastés, et des paysages baignés d’une longue
lumière
boréale. Cette femme n’est pas un ange ni une sainte. Elle a péché gr
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ète philosophe et du théologien projette une vive
lumière
sur le secret dernier du message d’un romancier : Dostoïevski. Prenon
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uite par la Réforme, c’est un pays entier sous la
lumière
de la Parole, qui trouve ici son expression. Tout respire largement,