1 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
1 une plénitude royale s’avance fortement contre la lumière , et les yeux, entre cette bouche et ce front, disent d’un sobre et mé
2 éclat sur tout ce que nous ferons, comme la douce lumière d’un soleil caché14. » Écrire, tout en se taisant. Et ceux-là seuls e
2 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
3 ds sans nourrir la vision. Pas de mouches dans la lumière au ras des landes. Lucidité stérile du bel hiver ! La colère y jailli
4 ous les tilleuls. Il y a un grand bonheur dans la lumière qui baigne le jardin fleuri, éclate sur la façade de la maison, plus
5 e la Création vers la révélation des « enfants de lumière  », et la restauration de l’ordre originel. Et voilà pratiquement la r
3 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Gösta Berling, par Selma Lagerlöf (novembre 1937)
6 esque pardonner au monde. C’est le placer sous la lumière fantastique de la Promesse, au point où tout se renverse, où le ciel
4 1951, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Un complot de protestants (novembre 1951)
7 de vraie foi sans vrai doute, plus qu’il n’est de lumière sans ombre. Et je n’entends pas dire que Gide fut un croyant, mais il
5 1961, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La personne, l’ange et l’absolu, ou le dialogue Occident-Orient (avril 1961)
8 nt l’image céleste », « glorifiée », « revêtue de lumière  », d’incorruptibilité et d’immortalité ; dès maintenant donc « ressus
9 ou chaque groupe d’êtres appartenant au monde de Lumière a sa Fravarti » — Ohrmazd, le Dieu lumineux a lui-même la sienne63. L
10 Chinvat s’élance, reliant un sommet au monde des Lumières infinies. À son entrée, se dresse devant l’âme sa Dâenâ, son moi céle
11 de la figure aimée terrestre, en l’adossant à une lumière qui en fasse éclore toutes les virtualités surhumaines, jusqu’à l’inv
12 peut devenir. N’est-ce pas l’aider à réfléchir la lumière de l’amour créateur ? Non, ce serait là trop dire, et pas assez. Aime
13 aider l’autre à se situer de telle manière que la lumière se voie en lui, mais qu’en même temps le vrai moi de l’amant s’y déco
14 st la même, ou du moins je la sens telle. Mais la lumière  ? Est-ce le Nom qu’on lui donne qui diffère, — ou quoi d’autre ? Le p
15 sera là pour constater que leurs doctrines sur la Lumière finale et sur le Vide n’auront été, dans leur ensemble, qu’une immens