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nous pouvons railler les illusions du siècle des
Lumières
et du siècle bourgeois-capitaliste ; nous pouvons répéter que notre i
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tant qu’on ne se risque pas à y marcher. Cette «
lumière
sur mon sentier », dont nous parle un psaume de David, n’éclaire pas
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théologiens ne peuvent manquer d’observer. Cette
lumière
qui consiste à la fois en « vraies ondes » et « vrais corpuscules »,
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s de la raison ; la parenté entre notre œil et la
lumière
, quoique mystérieuse, n’est plus illusion ; et le cosmos n’est pas un
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e fond de la matière fût percé et qu’une nouvelle
lumière
encore diffuse apparût de l’autre côté, comme au terme d’une aride as
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ons matérialistes de l’homme issues du siècle des
Lumières
. Incriminez ces conceptions, non la technique. Erreur sur les invent
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e, en lançant des particules « à la vitesse de la
lumière
». Que pouvait en conclure le lecteur ignorant ? Sinon que les Russes
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u d’accélérer des particules « à la vitesse de la
lumière
». Et le synchrocyclotron de Genève a 200 mètres de diamètre. Mais le
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érateurs de la TV qui avaient besoin de la pleine
lumière
de l’aube. » Le résultat n’est pas mauvais, si l’on en juge par les p
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r méditer. Et nous suivrons tantôt cette allée de
lumière
frayée dans les hautes futaies par les rayons obliques de l’après-mid
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s de libre jugement… Cachés sous le manteau de la
lumière
… des conquérants ! » et leur morale, au-delà du bien et du mal, sera
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ion dont parlait Nietzsche, pendant le siècle des
Lumières
. Comme on voit, en fermant les yeux, une statue noire à la place de
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, les trois Masques vengeurs s’avancent en pleine
lumière
, et Don Juan les invite, provoquant le destin. (Nul doute qu’il les a
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nes. Une matinée près des glaciers ruisselants de
lumière
et d’eaux vives, à deux-mille mètres, parmi les pâturages à l’herbe r
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r et s’éteindre pour quelques secondes toutes les
lumières
. Au fond de la salle, près de l’entrée principale, je trouvai Duncan