1 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
1 e printemps parisien, ce soir, tourne à l’été. La lumière mûrit là-haut, sur le clocher roman de cette église mystérieusement d
2 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
2 lus répondre aux menaces que par l’extinction des lumières , — de toutes les lumières humaines. J’avais quitté mon train pendant
3 ue par l’extinction des lumières, — de toutes les lumières humaines. J’avais quitté mon train pendant l’arrêt, à la recherche d’
4 ilà le miracle hollandais. Je ne crois pas que la lumière fauve et le grenat des façades de briques renversées dans l’eau jaune
3 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
5 j’en perdrai le goût d’être un Européen. La Ville lumière n’est pas détruite : elle s’est éteinte. Désert de hautes pierres san
4 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
6 gnes doucement précises, sous un ciel et dans une lumière qui ne savent encore parler que de bonheur et de libre sagesse… Comme
7 r ses moyens d’expression, éteindre Paris « ville lumière  ». On peut aussi, tout simplement, ne plus réimprimer de livres en la
8 septembre 1940 Blanche et bleue dans l’immense lumière de la liberté atlantique, avec tous ses drapeaux claquant et ses rues
5 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
9 ntemple la chaîne. Le vent fou, l’air ozoné et la lumière éclatant très haut dans le ciel sur des parois violemment découpées,
10 règne seul au coucher du soleil. À New York, la lumière du soir évacue rapidement les rues profondes, remonte au sommet des b
6 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
11 mple, typique, évident et « normal », la paix, la lumière blanche, l’atome d’hydrogène, la géométrie d’Euclide, ou le Français
7 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
12 rume d’été flottant sur la rivière… Une langue de lumière orangée vient râper doucement le crépi des murs bas, sur la terrasse
8 1946, Journal des deux mondes. Virginie
13 tonnerre se succèdent sans répit, et parfois les lumières vacillent, baissent, remontent… Paraît dans la porte du fond un homme
9 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
14 es chats. Les façades, hauts rectangles troués de lumières et de scènes du soir, s’étagent en silhouettes sur le ciel rouge. Une
10 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
15 cavernes d’ombre et gonflements majestueux où la lumière fait ses grands jeux de tous les rouges au bleu de plomb. Aux approch