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e printemps parisien, ce soir, tourne à l’été. La
lumière
mûrit là-haut, sur le clocher roman de cette église mystérieusement d
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lus répondre aux menaces que par l’extinction des
lumières
, — de toutes les lumières humaines. J’avais quitté mon train pendant
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ue par l’extinction des lumières, — de toutes les
lumières
humaines. J’avais quitté mon train pendant l’arrêt, à la recherche d’
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ilà le miracle hollandais. Je ne crois pas que la
lumière
fauve et le grenat des façades de briques renversées dans l’eau jaune
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j’en perdrai le goût d’être un Européen. La Ville
lumière
n’est pas détruite : elle s’est éteinte. Désert de hautes pierres san
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gnes doucement précises, sous un ciel et dans une
lumière
qui ne savent encore parler que de bonheur et de libre sagesse… Comme
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r ses moyens d’expression, éteindre Paris « ville
lumière
». On peut aussi, tout simplement, ne plus réimprimer de livres en la
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septembre 1940 Blanche et bleue dans l’immense
lumière
de la liberté atlantique, avec tous ses drapeaux claquant et ses rues
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ntemple la chaîne. Le vent fou, l’air ozoné et la
lumière
éclatant très haut dans le ciel sur des parois violemment découpées,
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règne seul au coucher du soleil. À New York, la
lumière
du soir évacue rapidement les rues profondes, remonte au sommet des b
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mple, typique, évident et « normal », la paix, la
lumière
blanche, l’atome d’hydrogène, la géométrie d’Euclide, ou le Français
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rume d’été flottant sur la rivière… Une langue de
lumière
orangée vient râper doucement le crépi des murs bas, sur la terrasse
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tonnerre se succèdent sans répit, et parfois les
lumières
vacillent, baissent, remontent… Paraît dans la porte du fond un homme
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es chats. Les façades, hauts rectangles troués de
lumières
et de scènes du soir, s’étagent en silhouettes sur le ciel rouge. Une
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cavernes d’ombre et gonflements majestueux où la
lumière
fait ses grands jeux de tous les rouges au bleu de plomb. Aux approch