1 1947, Doctrine fabuleuse. Premier dialogue sur la carte postale. La pluie et le beau temps
1 mps. Si vous étiez païenne et que vous adoriez la lumière , le beau temps vous serait un dieu rendu visible et le « bonheur » se
2  » serait le nom de sa présence. Mais un jour, la lumière est morte autour de nous, elle est morte à la surface des choses pour
2 1947, Doctrine fabuleuse. Miroirs, ou Comment on perd Eurydice et soi-même
3 ans les yeux. Il varie sur son visage les jeux de lumière et de sentiments. Il découvre une sorte de rire au coin de sa bouche
3 1947, Doctrine fabuleuse. L’ombre perdue
4 e servent, les femmes qu’il rencontre, surtout la lumière du jour, et même la clarté de la lune. Il recherche la solitude pour
4 1947, Doctrine fabuleuse. La gloire
5 te, me fait venir les larmes aux yeux ? Gloire et lumière , gloire et mystère, gloire et mort lumineuse, gloire et ce triomphal
5 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
6 t : « Elle est là. ») Premier jugement, par la lumière La fin du monde, irréfutable, s’arrêtait un peu en avant, les rega
7 ne sachant trop quelle contenance prendre. Et la lumière ne cesse de grandir. Ils tombent déjà par rangs entiers, aveuglés et
8 nt les derniers soleils et l’agrandissement de la lumière jusqu’aux limites de sa perfection, où tout ce qui voit éclaire aussi
6 1947, Doctrine fabuleuse. Le feu
9 prêtres leur ont dit que l’on pouvait admettre la Lumière . Que la Lumière était comme le Vide. Puis d’autres prêtres ont trouvé
10 dit que l’on pouvait admettre la Lumière. Que la Lumière était comme le Vide. Puis d’autres prêtres ont trouvé que la lumière
11 le Vide. Puis d’autres prêtres ont trouvé que la lumière signifie : l’Eau, parce que l’Eau rejette les corps et ne les veut pa