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ur lutte mortelle dans l’homme. Il est un dieu de
Lumière
incréée, intemporelle, et un dieu de Ténèbres, auteur du mal, qui dom
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t le but de l’homme. » Ainsi l’aspiration vers la
lumière
prend pour symbole l’attrait nocturne des sexes. Le grand Jour incréé
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er veut sombrer, mais pour renaître en un ciel de
Lumière
. La « Nuit » qu’il chante, c’est le Jour incréé. Et sa passion, c’est
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s créées et de la nuit de la matière. Issu de la
lumière
et des dieux Me voici en exil et séparé d’eux. Je suis un dieu, et n
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hymne du Destin de l’Âme. L’élan de l’âme vers la
Lumière
n’est pas sans évoquer d’une part la « réminiscence du Beau » dont pa
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tif de l’illumination), nous pouvons accéder à la
Lumière
. Mais la fin de l’esprit, son but, c’est aussi la fin de la vie limit
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ait Dieu… En elle était la vie et la vie était la
lumière
des hommes. La lumière lui dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’on
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la vie et la vie était la lumière des hommes. La
lumière
lui dans les ténèbres, et les ténèbres ne l’ont pas reçue. » (I, 1-5.
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L’incarnation de la Parole dans le monde — de la
Lumière
dans les Ténèbres —, tel est l’événement inouï qui nous délivre du ma
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sus-Christ, les ténèbres vraiment ont « reçu » la
lumière
. Et tout homme né de femme qui croit cela, renaît de l’esprit dès mai
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’est plus la passion infinie de l’âme en quête de
lumière
, mais c’est le mariage du Christ et de l’Église. L’amour humain lui-m
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nous, pour nous montrer le chemin du retour à la
Lumière
. Ce Christ, en cela semblable à celui des gnostiques et de Manès, ne
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perdition des âmes, répond Marie, symbole de pure
Lumière
salvatrice, Mère intacte (immatérielle) de Jésus, et semble-t-il, Jug
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énération manichéenne s’adressant à la « forme de
lumière
» qui dans chaque homme représente son propre esprit (demeuré au Ciel
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Et voici Guiraut de Bornheil qui prie la vraie 42
lumière
en attendant l’aube du jour terrestre : cette aube qui doit le réunir
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nnaires cheminant deux par deux) : Roi glorieux,
lumière
et clarté vraie Puissant Dieu, Seigneur, s’il vous agrée À mon copain
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œux ? Ou bien a-t-il trouvé au sein de la nuit la
Lumière
vraie dont il ne faut se séparer ? Beau doux copain, tant riche est
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se voit de la sorte « ordonné » dans l’Esprit de
Lumière
; comment, au moment de sa mort, la forme de Lumière, qui est son Esp
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ière ; comment, au moment de sa mort, la forme de
Lumière
, qui est son Esprit, lui apparaît et le console par un baiser ; comme
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r ; comment enfin l’élu vénère sa propre forme de
lumière
, sa salvatrice. Or, qu’attendait de la « Dame de ses pensées », inacc
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était inspiré Manès — l’opposition du monde de la
Lumière
et du monde des Ténèbres, dont on a vu qu’elle est fondamentale pour
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la Sophia-Maria et de l’amour pour la « forme de
lumière
». D’autre part, une rhétorique hautement raffinée, avec ses procédés
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deux premiers, mais leur confrontation jette une
lumière
très vive sur la nature comme sur l’évolution et les complexités de l
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ital. 42. L’emploi du mot « vraie » devant Dieu,
Lumière
, Foi, Église, est tenu par certains (dont Péladan et Rahn) pour un in
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étique du fer pour le fer, et leurs particules de
lumière
veulent rejoindre, comme un aimant, le foyer de lumière dont elles so
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e veulent rejoindre, comme un aimant, le foyer de
lumière
dont elles sont venues. » 59. « C’est lui l’amour… » trad. Dermenghe
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ant la « magie érotique » du cycle du Graal (dans
Lumière
du Graal, 1951, recueil d’une vingtaine d’études par des auteurs dive