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e vienne. Nous savons que la phase actuelle de la
lutte
contre la tyrannie et pour la liberté est une phase idéologique et no
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doit nous être indiquée par la nature même de la
lutte
en cours qui, pour l’instant, encore, dans nos pays démocratiques, re
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t, encore, dans nos pays démocratiques, reste une
lutte
idéologique et qui le restera en dernière analyse, même si la guerre
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renoncer d’avance à nos meilleurs atouts dans la
lutte
historique où nous sommes engagés qui est une lutte d’idées, de croya
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tte historique où nous sommes engagés qui est une
lutte
d’idées, de croyances, de conceptions du monde. Les totalitaires, eux
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nt une guerre, qui serait perdue par tous — cette
lutte
où nous sommes engagés, la première condition de succès, c’est de sav
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ient fatal que dans la mesure où nous quittons la
lutte
. Léviathan, c’est la somme exacte de nos petites démissions personnel
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s en Angleterre. À vrai dire, c’est un goût de la
lutte
contre la vie, avec des camarades donnés par le hasard, qui les jette
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t leurs particularités ; paradoxe même de la vie,
lutte
permanente entre deux dynamismes contraires également valables, condi
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e. Rien n’existe, au sens fort, en dehors de leur
lutte
, dont le réel figure la résultante. Au-delà de tout idéalisme ou réal
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constructive. Quelles seront les maximes de notre
lutte
, dans cette situation de fait ? ⁂ J’envisagerai trois exemples typiqu
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us que jamais l’offensive de la liberté, sa vraie
lutte
pour une paix vivante. v. « Une présence », Cinq ans de présence (j
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qu’il se trouve impliqué bon gré mal gré dans la
lutte
qui divise profondément la société, les pouvoirs, les familles, et le