1 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
1 ce même mystère du Jour et de la Nuit, et de leur lutte mortelle dans l’homme. Il est un dieu de Lumière incréée, intemporell
2 ape Léon III, instruit de cette répugnance par sa lutte contre les juifs et les montanistes, inaugura une politique iconoclas
2 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
3 sme à l’exaltation. La Rose est emportée de haute lutte . La Nature triomphe de l’Esprit, et la raison de la passion. Chacune
4 temps n’auraient-elles point gardé de traces des luttes violentes qui opposèrent dans la cité les « patarins » aux orthodoxes
5 les « patarins » aux orthodoxes ? ⁂ En marge des luttes religieuses du siècle, qui refoulaient les anciennes hérésies dans un
6 fin Racine l’abat, non sans avoir reçu dans cette lutte avec l’ange mauvais la plus douloureuse blessure. Et Don Juan bondit
7 ur, évoquées par le premier acte, introduisent la lutte et la durée, qui sont les éléments du drame. Mais le drame ne peut pa
3 1939, L’Amour et l’Occident. Amour et guerre
8 iclée d’Héliodore (iiie siècle) parle déjà des «  luttes d’amour » et de la « délicieuse défaite » de celui « qui tombe sous l
9 la rhétorique courtoise traduit, à l’origine, la lutte du Jour et de la Nuit. La mort y joue un rôle central : elle est la d
10 sque, ce sont essentiellement selon Huizinga : la lutte pour la paix universelle basée sur l’union des rois, la conquête de J
11 aremment le premier rang parmi les facteurs de la lutte . La chevalerie représentait un effort pour donner un style à l’insti
12 déchaînées parce qu’elles allaient consacrer à la lutte toutes les ressources de la nation ; parce qu’elles allaient se donne
13 ction de toutes les formes conventionnelles de la lutte . À partir de 1920, on ne se soumettra plus aux « simagrées diplomatiq
4 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
14 a rivalité de Tristan et de Marc le symbole de la lutte entre les Bretons armoricains et les Gallo-Francs. Il est incontestab