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visme l’eût arrêté. Sa force n’a été faite que de
lâchetés
accumulées, et de calculs dits « réalistes » d’une bourgeoisie qui s’
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mesure où le civisme est faible ; il est fort des
lâchetés
individuelles, répercutées dans le pouvoir établi ; et demain, s’il t
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, sa puissance ne sera que la somme exacte de nos
lâchetés
particulières. L’exemple de Sarzana nous le prouve fortement : ce n’e
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tarisme ne sera jamais que la somme exacte de nos
lâchetés
individuelles, c’est-à-dire de nos égoïsmes. 2° Il nous faut refaire