1 1971, Articles divers (1970-1973). Souvenir d’Honegger et de Nicolas de Flue (1971)
1 ire pour moi théologique, à cette époque) de ma «  Légende dramatique » est révélé tantôt en majesté, — toute la prière « Mon Di
2 1973, Articles divers (1970-1973). La Merveilleuse histoire de Tristan et Iseut [préface] (1973)
2 ecteurs du xxe siècle les textes originaux de la légende de Tristan et son contexte culturel et historique, ont fait bien plus
3 édante qu’elle ne paraît à première vue : avec la légende de Tristan, c’est l’étymologie de nos passions que ces savants ont re
4 e du mythe, par la liaison qui se trouve entre la légende primitive et ses expressions dérivées dans nos littératures et dans n
5 À mon sens, en effet, les textes primitifs de la légende de Tristan, qui remontent aux xiie et xiiie siècles, expriment bien
6 s’écrie un troubadour tardif, contemporain de nos légendes tristaniennes. Mais qu’est-ce alors, quel est le faux amour qui « tou
7 e, il est perdant. ⁂ À ce premier aspect de notre légende  : l’amour-passion triomphant du mariage, c’est-à-dire de l’amour-réal
8 ression célèbre de Thomas, l’un des auteurs de la légende primitive ? Mais si le mythe est épuisé, et s’il était vraiment un my
9 avec la mort. Et Wagner, le dernier auteur de la légende qu’il a su recréer d’après nature, s’inspirant de Gottfried de Strasb
10 en 1908 et André Mary en 1941, ont osé récrire la légende , dans leur propre version inspirée des anciennes. Continuateurs et no
11 xtes que nous tenons pour les « originaux » de la légende , et qui, en fait, n’étaient eux-mêmes que des versions renouvelées, s
12 cteur familiarisé avec le contenu explicite de la légende , les situations et les symboles qui en constituent la matière traduis