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péripéties et situations les plus typiques de la
légende
de Tristan. Mais il est curieux de noter qu’à chaque fois un point d’
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mourir en Sibérie. Ainsi, tous les moments de la
Légende
transparaissent et se recomposent l’un après l’autre, avec une mystér
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nsemble. On a pu varier les interprétations de la
légende
, « jusqu’à ce que Mozart en ait découvert à la fois le médium et l’id
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s enthousiastes et lyriques sur le Don Juan de la
légende
et de Mozart. Le contraste entre cette discrétion, voire ce mutisme,
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liation des mythes ne pose guère de problèmes. La
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de Tristan date du xiie siècle, celle de Don Juan ne remonte guère q
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oursuit Don Juan de sa haine, parce que, selon la
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primitive — que nous rappelle un analyste freudien — « il ne lui a pa
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sion du héros, que l’on peut interpréter (dans la
légende
primitive et l’opéra) comme un amour dédié à sa propre âme114, dont I