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idité de sensations, une libération érotique, des
mécènes
américains… Ce fut la grande Permission, la Permission perpétuelle —
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ine patience. Chaque émission est financée par un
mécène
qui est dans le savon, les tabacs, ou les huiles. Il paye très cher d
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ine patience. Chaque émission est financée par un
mécène
qui est dans le savon, les tabacs, ou les huiles. Il paye très cher d
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les finances, « à l’Amérique ». (On entend : des
mécènes
, une fondation, un comité, une organisation plus ou moins officielle
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les finances, « à l’Amérique ». (On entend : des
mécènes
, une fondation, un comité, une organisation plus ou moins officielle
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nisée Il y eut jadis des princes et dictateurs
mécènes
. Il y eut Laurent le Magnifique. Temps bien passés. Un gouvernement,
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nisée Il y eut jadis des princes et dictateurs
mécènes
. Il y eut Laurent le Magnifique. Temps bien passés. Un gouvernement,
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en Europe, perdra sa vitalité si les États et les
mécènes
virtuels du continent s’obstinent à lui refuser même le centième de l
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des savants, des ingénieurs, des musiciens et des
mécènes
de la culture. Mais le CEC n’est pas seul à travailler dans cet immen
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Le problème est posé par le fait que nos virtuels
mécènes
à l’ancienne mode ne sont plus en mesure — sauf de rares exceptions —
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ère et pour quelles fins utiles. Pour se faire le
mécène
d’un peintre ou d’un auteur, il suffisait d’avoir de l’argent et du g
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intermédiaires indispensables désormais entre le
mécène
et les bénéficiaires (variés, nombreux et souvent fort lointains) de
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la bonne volonté n’y suffit plus. La fonction du
mécène
est devenue collective ; elle relève de la science et non plus de hob
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créer. Où sont nos fondations, à quoi pensent les
mécènes
? 2. VIP : Very important person. Se dit de quelques centaines de
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public alerté, un snobisme, les libéralités d’un
mécène
ou d’une cour. C’est tout cela qu’interdisent moralement nos principe
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public alerté, un snobisme, les libéralités d’un
mécène
ou d’une cour. C’est tout cela qu’interdisent moralement nos principe
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me onéreux. L’État ne parvient pas à remplacer le
mécène
privé. Bien qu’il soit parfois difficile d’obtenir dans ce domaine de
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Le problème est posé par le fait que nos virtuels
mécènes
à l’ancienne mode ne sont plus en mesure — sauf de rares exceptions —
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ère et pour quelles fins utiles. Pour se faire le
mécène
d’un peintre ou d’un auteur, il suffisait d’avoir de l’argent et du g
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intermédiaires indispensables désormais entre le
mécène
et les bénéficiaires (variés, nombreux et souvent fort lointains) de
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la bonne volonté n’y suffit plus. La fonction du
mécène
est devenue collective ; elle relève de la science et non plus de hob