1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
1 d je n’ai distingué qu’un paysage de toits bleus, médiéval . Et voici qu’une cloche très fine a sonné cinq coups délicats. Puis u
2 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)
2 ité moderne les témoignages écrits de la mystique médiévale ou renaissante. Notre optique actuelle doit fatalement les déformer.
3 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — VII. Sur le déclin du Moyen Âge
3 nsée cléricale ou profane, et du pouvoir temporel médiéval  : c’est le langage commun aux prêtres et aux législateurs, le latin.
4 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XIII. commune mesure et acte de foi
4 ut le cas de la mesure des Juifs, et de la mesure médiévale . C’est la vraie trahison des clercs : l’idolâtrie, la simonie ou la s
5 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — VII. Sur le déclin du Moyen Âge
5 nsée cléricale ou profane, et du pouvoir temporel médiéval  : c’est le langage commun aux prêtres et aux législateurs, le latin.
6 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
6 enne, Grèce de Périclès, Rome des Césars, papauté médiévale , empires égyptien et aztèque, Chine des grandes dynasties.) Mais la m
7 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
7 nt, que le capitalisme entra dans la civilisation médiévale . Le développement du transit65 apporta un incontestable élargissement
8 1938, Articles divers (1938-1940). Le seul espoir (juin 1938)
8 it la défense des cols, cœur physique de l’Europe médiévale . Désormais, il nous appartient de proclamer la signification spiritue
9 utés primitives : c’est le chevalier des légendes médiévales  ; c’est l’artisan des guildes et des corporations au temps de l’ascen
9 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
10 riage au conflit de l’orthodoxie et d’une hérésie médiévale . Car cette dernière, comme telle, n’existe plus ; et si l’orthodoxie
10 1938, Journal d’Allemagne. I. Journal (1935-1936)
11 ma vieille Germanie dans les cafés, dans la ville médiévale , dans l’odeur douce des magasins de tabac, dans la tristesse des ciel
11 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
12 à la passion et à la guerre que fut la chevalerie médiévale . 104. « L’idée antique du travail indigne de l’homme libre se retrou
12 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
13 tout cela fait partie intégrante de la chrétienté médiévale . Or, cette collusion peut-être inévitable de l’Église et de l’Empire
14 n que succomba la société au Moyen Âge. « L’homme médiéval , écrit Burckhardt, ne se connaissait plus que comme race, peuple, par
13 1939, L’Amour et l’Occident. Livre premier. Le mythe de Tristan
15 s qui n’est autre que la coutume de la chevalerie médiévale . Or les « ordres » de chevalerie furent souvent appelés « religions »
14 1939, L’Amour et l’Occident. Livre II. Les origines religieuses du mythe
16 éopagite, cette doctrine s’est transmise au monde médiéval . Ainsi l’Orient vint rêver dans nos vies, réveillant de très vieux so
17 symbolisme de la Dame. Dans l’optique de l’homme médiéval , toute chose signifie autre chose, et cela sans qu’intervienne aucun
18 e traduction conceptuelle. En d’autres termes, le médiéval n’a pas besoin de se formuler le sens des symboles qu’il emploie, ni
19 dérons54. L’un des meilleurs historiens des mœurs médiévales , J. Huizinga, nous propose sur ce point des exemples topiques ; celui
20 res, du mystique Suso : « La vie de la chrétienté médiévale est, dans toutes ses manifestations, saturée de représentations relig
21 ire sur la mentalité « naïvement » symbolique des médiévaux  : leurs symboles n’étaient pas traduisibles en concepts prosaïques et
22 n pourrait se borner à rappeler que le symbolisme médiéval procède généralement de haut en bas — de ciel en terre — ce qui réfut
23 titulé Medieval Love, remarque que dans les cours médiévales il y avait « une énorme prépondérance numérique d’hommes » dont peu p
24 s pas compte dès maintenant. 54. Par exemple, le médiéval serait trop « naïf » pour étudier une matière qu’il jugerait absurde,
15 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
25 ne littérature idéalisante, l’élite de la société médiévale . D’où la réaction « réaliste » qui ne pouvait manquer de s’ensuivre.
26 , avec des variantes infinies, par toute l’Europe médiévale . Les fabliaux annoncent le roman comique, qui annonce le roman de mœu
27 ofonde du mythe, encore masquée dans les légendes médiévales par une foule d’éléments épiques et pittoresques. ⁂ Cependant la form
16 1939, L’Amour et l’Occident. Livre V. Amour et guerre
28 on J. Huizinga l’aspiration suprême de la société médiévale dans l’ordre éthique. « C’est une nécessité sociale, un besoin d’auta
29 s jugements sur l’unité spirituelle de la société médiévale  !) Or s’il est vrai que cette morale courtoise ne parvint guère à tra
30 e amoureuse n’y était qu’exceptionnelle. Le sport médiéval , au contraire, et surtout le tournoi, était lui-même dramatique au pl
17 1939, L’Amour et l’Occident. Livre VI. Le mythe contre le mariage
31 riage au conflit de l’orthodoxie et d’une hérésie médiévale . Car cette dernière, comme telle, n’existe plus ; et si l’orthodoxie
18 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
32 -passion. 2. – Chevalerie sacrée La pensée médiévale en général est saturée de conceptions religieuses. De la même manière
19 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre premier. Le mythe de Tristan
33 s qui n’est autre que la coutume de la chevalerie médiévale . Or les « ordres » de chevalerie furent souvent appelés « religions »
20 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
34 éopagite, cette doctrine s’est transmise au monde médiéval . Ainsi l’Orient vint rêver dans nos vies, réveillant de très vieux so
35 symbolisme de la Dame. Dans l’optique de l’homme médiéval , toute chose signifie autre chose comme dans les rêves, et cela sans
36 e traduction conceptuelle. En d’autres termes, le médiéval n’a pas besoin de se formuler le sens des symboles qu’il emploie, ni
37 dérons56. L’un des meilleurs historiens des mœurs médiévales , J. Huizinga, nous propose sur ce point des exemples topiques ; celui
38 res, du mystique Suso : « La vie de la chrétienté médiévale est, dans toutes ses manifestations, saturée de représentations relig
39 ire sur la mentalité « naïvement » symbolique des médiévaux  : leurs symboles n’étaient pas traduisibles en concepts prosaïques et
40 n pourrait se borner à rappeler que le symbolisme médiéval procède généralement de haut en bas — de ciel en terre — ce qui réfut
41 xemples de relations entre l’Orient et l’Occident médiéval . J’ai choisi ces deux cas, solidement attestés, parce qu’ils réfutent
42 titulé Médieval Love, remarque que dans les cours médiévales il y avait « une énorme prépondérance numérique d’hommes » dont peu p
43 des troubadours, II, p. 306. 56. Par exemple, le médiéval serait trop « naïf » pour étudier une matière qu’il jugerait absurde,
21 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
44 ne littérature idéalisante, l’élite de la société médiévale . D’où la réaction « réaliste » qui ne pouvait manquer de s’ensuivre.
45 , avec des variantes infinies, par toute l’Europe médiévale . Les fabliaux annoncent le roman comique, qui annonce le roman de mœu
46 ofonde du mythe, encore masquée dans les légendes médiévales par une foule d’éléments épiques et pittoresques. ⁂ Cependant la form
22 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre V. Amour et guerre
47 n J. Huizinga, l’aspiration suprême de la société médiévale dans l’ordre éthique. « C’est une nécessité sociale, un besoin d’auta
48 s jugements sur l’unité spirituelle de la société médiévale  !) Or s’il est vrai que cette morale courtoise ne parvint guère à tra
49 e amoureuse n’y était qu’exceptionnelle. Le sport médiéval , au contraire, et surtout le tournoi, était lui-même dramatique au pl
23 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre VI. Le mythe contre le mariage
50 riage au conflit de l’orthodoxie et d’une hérésie médiévale . Car cette dernière, comme telle, n’existe plus ; et si l’orthodoxie
24 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre premier. Le mythe de Tristan
51 s qui n’est autre que la coutume de la chevalerie médiévale . Or les « ordres » de chevalerie furent souvent appelés « religions »
25 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre II. Les origines religieuses du mythe
52 éopagite, cette doctrine s’est transmise au monde médiéval . Ainsi l’Orient vint rêver dans nos vies, réveillant de très vieux so
53 symbolisme de la Dame. Dans l’optique de l’homme médiéval , toute chose signifie autre chose, comme dans les rêves, et cela sans
54 e traduction conceptuelle. En d’autres termes, le médiéval n’a pas besoin de se formuler le sens des symboles qu’il emploie, ni
55 dérons49. L’un des meilleurs historiens des mœurs médiévales , J. Huizinga, nous propose sur ce point des exemples topiques ; celui
56 res, du mystique Suso : « La vie de la chrétienté médiévale est, dans toutes ses manifestations, saturée de représentations relig
57 ire sur la mentalité « naïvement » symbolique des médiévaux  : leurs symboles n’étaient pas traduisibles en concepts prosaïques et
58 n pourrait se borner à rappeler que le symbolisme médiéval procède généralement de haut en bas — de ciel en terre — ce qui réfut
59 xemples de relations entre l’Orient et l’Occident médiéval . J’ai choisi ces deux cas, solidement attestés, parce qu’ils réfutent
60 titulé Medieval Love, remarque que dans les cours médiévales il y avait « une énorme prépondérance numérique d’hommes » dont peu p
61 des troubadours, II, p. 306. 49. Par exemple, le médiéval serait trop « naïf » pour étudier une matière qu’il jugerait absurde,
26 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre IV. Le mythe dans la littérature
62 une littérature idéalisante l’élite de la société médiévale . D’où la réaction « réaliste » qui ne pouvait manquer de s’ensuivre.
63 , avec des variantes infinies, par toute l’Europe médiévale . Les fabliaux annoncent le roman comique, qui annonce le roman de mœu
64 ofonde du mythe, encore masquée dans les légendes médiévales par une foule d’éléments épiques et pittoresques. ⁂ Cependant la form
27 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre V. Amour et guerre
65 n J. Huizinga, l’aspiration suprême de la société médiévale dans l’ordre éthique. « C’est une nécessité sociale, un besoin d’auta
66 s jugements sur l’unité spirituelle de la société médiévale  !) Or s’il est vrai que cette morale courtoise ne parvint guère à tra
67 e amoureuse n’y était qu’exceptionnelle. Le sport médiéval , au contraire, et surtout le tournoi, était lui-même dramatique au pl
28 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre VI. Le mythe contre le mariage
68 riage au conflit de l’orthodoxie et d’une hérésie médiévale . Car cette dernière, comme telle, n’existe plus ; et si l’orthodoxie
29 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Appendices
69 our-passion. 2.Chevalerie sacrée La pensée médiévale en général est saturée de conceptions religieuses. De la même manière
70 , de la Chine, du Tibet, sinon peut-être du Japon médiéval (voir le célèbre roman Gengi), du Japon. Dans un très beau recueil po
30 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La bataille de la culture (janvier-février 1940)
71 euses de lieux communs pour la cité. La théologie médiévale , par les Sommes de Thomas d’Aquin, fixait à la pensée et à l’action d
31 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
72 tout cela fait partie intégrante de la chrétienté médiévale . Or, cette collusion peut-être inévitable de l’Église et de l’Empire
73 n que succomba la société au Moyen Âge. « L’homme médiéval , écrit Burckhardt, ne se connaissait plus que comme race, peuple, par
32 1940, Mission ou démission de la Suisse. La bataille de la culture
74 euses de lieux communs pour la cité. La théologie médiévale , par les sommes de Thomas d’Aquin, fixait à la pensée et à l’action d
33 1940, Politique de la personne (1946). Ve partie. À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
75 tout cela fait partie intégrante de la chrétienté médiévale . Or, cette collusion peut-être inévitable de l’Église et de l’Empire
76 n que succomba la société au Moyen Âge. « L’homme médiéval , écrit Burckhardt, ne se connaissait plus que comme race, peuple, par
34 1941, Tapuscrits divers (1936-1947). Passion et origine de l’hitlérisme (janvier 1941)
77 écadence des conventions créées par la courtoisie médiévale augmentera à une allure croissante. Rencontrant dans le domaine des m
35 1942, Articles divers (1941-1946). La leçon de l’armée suisse (4 mars 1942)
78 libérèrent pour la première fois de la domination médiévale des seigneurs, leur armée a été un groupement de citoyens libres, pos
79 us adéquate contre les parachutistes. Une coutume médiévale est devenue, ainsi, la méthode la plus moderne de défense. C’est la c
36 1942, La Part du diable. Première partie. L’Incognito et la Révélation
80 t simplement le démon rouge et cornu des mystères médiévaux , ou le faune à barbiche de chèvre et à longue queue des légendes popu
37 1942, La Part du diable. Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
81 t passer pour une histoire pieuse, une mythologie médiévale . Ne souffrons pas qu’elle masque plus longtemps le moment décisif du
38 1942, La Part du diable (1944). Première partie. L’Incognito et la Révélation
82 n’existe pas, sinon comme accessoire des mystères médiévaux . Supposons un instant qu’il s’agisse là d’un camouflage prémédité du
83 si, par un tour astucieux, l’image automatique et médiévale qu’éveille en nous le nom de diable est devenue la Tarnkappe, le mant
39 1942, La Part du diable (1944). Quatrième partie. Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
84 re que le diable en est ravi. Car selon le dicton médiéval et renaissant, « le diable est bon théologien ». Notre inculture lui
40 1942, La Part du diable (1944). Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
85 t passer pour une histoire pieuse, une mythologie médiévale . Ne souffrons pas qu’elle masque plus longtemps le moment décisif du
41 1942, La Part du diable (1982). Première partie. L’Incognito et la révélation
86 n’existe pas, sinon comme accessoire des mystères médiévaux . Supposons un instant qu’il s’agisse là d’un camouflage prémédité du
87 si, par un tour astucieux, l’image automatique et médiévale qu’éveille en nous le nom du diable est devenue la Tarnkappe, le mant
42 1942, La Part du diable (1982). Quatrième partie. Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
88 re que le diable en est ravi. Car selon le dicton médiéval et renaissant, « le diable est bon théologien ». Notre inculture lui
43 1942, La Part du diable (1982). Cinquième partie. Le Bleu du Ciel
89 t passer pour une histoire pieuse, une mythologie médiévale . Ne souffrons pas qu’elle masque plus longtemps le moment décisif du
44 1943, La Vie protestante, articles (1938–1978). Les tours du diable I : « Je ne suis personne » (15 octobre 1943)
90 t simplement le démon rouge et cornu des mystères médiévaux , ou le faune à barbiche de chèvre et à longue queue des légendes popu
45 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (11-12 mai 1946)
91 d je n’ai distingué qu’un paysage de toits bleus, médiéval . Et voici qu’une cloche très fine a sonné cinq coups délicats. Puis u
46 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
92 existe, sous nos yeux. On y pénètre par un porche médiéval , où des agents de police arrêtent votre voiture, vous prient de dire
47 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
93 d je n’ai distingué qu’un paysage de toits bleus, médiéval . Et voici qu’une cloche très fine a sonné cinq coups délicats. Puis u
48 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — I. Journal (1935-1936)
94 ma vieille Germanie dans les cafés, dans la ville médiévale , dans l’odeur douce des magasins de tabac, dans la tristesse des ciel
49 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
95 existe, sous nos yeux. On y pénètre par un porche médiéval , où des agents de police arrêtent votre voiture, vous prient de dire
50 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
96 d je n’ai distingué qu’un paysage de toits bleus, médiéval . Et voici qu’une cloche très fine a sonné cinq coups délicats. Puis u
51 1947, Tapuscrits divers (1936-1947). Il y a aussi des gens en Suisse (15 mai 1947)
97 l tire une grande langue rose ; sur les enseignes médiévales des restaurants, sur le drapeau de la République, dans le caractère d
98 de transitions insensibles du centre de la ville, médiéval et renaissant, des rues bordées d’hôtels aristocratiques de style fra
52 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure occidentale de l’homme : L’exploration de la matière (août 1955)
99 sont « démontrés par la Science », au lieu que le médiéval se voyait obligé de « croire aveuglément » ce que lui imposaient des
53 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
100 ntes » de la Nature dans la poésie et la peinture médiévales concernent les vergers. Le reste était terreur. 41. L’Encyclopédie
54 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
101 xemples de relations entre l’Orient et l’Occident médiéval . J’ai choisi ces deux cas, solidement attestés, parce qu’ils réfutent
55 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
102 ie de l’individu en Inde, comme celle du mystique médiéval , ne peut être que fuite en l’Absolu. Ainsi le moi devient conscient e
56 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Chapitre I. Où les voies se séparent
103 ie de l’individu en Inde, comme celle du mystique médiéval , ne peut être que fuite en l’Absolu. Ainsi le moi devient conscient e
57 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre III. La spire et l’axe
104 inaugure le romantisme, qui à son tour se voudra médiéval … Ainsi les phases successives portent le nom de leur innovation, quan
105 u dans ses témoignages plastiques : le grégarisme médiéval dans l’entassement de pierre d’une vieille cité à l’intérieur de ses
58 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre V. L’expérience du temps historique
106 damnés ou falsifiés. Dans la conscience populaire médiévale , comme aujourd’hui encore dans les masses paysannes, l’idée d’une évo
107 nverse de ce qui s’était passé durant l’intermède médiéval , l’état civil des hommes et des actions humaines n’a cessé de se préc
59 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre VI. L’expérience de l’espace
108 it tout d’abord un symbole, comme pour l’alchimie médiévale  : « Il est fort excellent », nous dit Colon, et « celui qui le possèd
60 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre VII. L’exploration de la matière
109 sont « démontrés par la science », au lieu que le médiéval se voyait obligé de « croire aveuglément » ce que lui imposaient des
61 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre VIII. L’aventure technique
110 ntes » de la Nature dans la poésie et la peinture médiévales concernent les vergers. Le reste était terreur. 81. « Ein Minimum a
62 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Chapitre X. Le drame occidental
111 Il exige en effet que l’Europe, dans ses couches médiévales populaires, cesse de résister sournoisement au plein emploi du machin
63 1957, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). La découverte du temps ou l’aventure occidentale (mars 1957)
112 damnés ou falsifiés. Dans la conscience populaire médiévale , comme aujourd’hui encore dans les masses paysannes, l’idée d’une évo
113 nverse de ce qui s’était passé durant l’intermède médiéval , l’état civil des hommes et des actions humaines n’a cessé de se préc
64 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
114 es seules où transparaît, dominateur, l’archétype médiéval de Tristan. Je ne sais à vrai dire si la passion naît de la distance,
65 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VIII. « Europa vel regnum Caroli »
115 royaumes distincts — pour se rapprocher de l’idée médiévale d’un empire sur les âmes, c’est-à-dire au concret d’une chrétienté pa
116 unc Europa iam decapitata. Et commença l’éclipse médiévale de la conscience — non certes de la réalité — européenne. Il faudra l
66 1961, Articles divers (1957-1962). Tristan et Iseut à travers le temps (1961)
117 s exposés de deux philologues sur la grande œuvre médiévale en invitant à sa tribune, pour y évoquer Tristan et Iseut sous un ang
67 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Introduction. L’érotisme et les mythes de l’âme — II. Naissance de l’érotisme occidental
118 ental Apparu pour la première fois aux lisières médiévales de l’inconscient, annoncé sous le couvert des symboles et du mythe au
68 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
119 es seules où transparaît, dominateur, l’archétype médiéval de Tristan. Je ne sais à vrai dire si la passion naît de la distance,
69 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Première partie. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
120 royaumes distincts — pour se rapprocher de l’idée médiévale d’un empire sur les âmes, c’est-à-dire au concret : d’une chrétienté
121 unc Europa iam decapitata. Et commença l’éclipse médiévale de la conscience — non certes de la réalité — européenne. Il faudra l
70 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 2. Premiers plans d’union
122 que tout en glorifiant l’unité chrétienne, mythe médiéval par excellence, Dante établit fortement la distinction du spirituel e
71 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 3. Synthèses historico-philosophiques (I)
123 s et la similitude des institutions dans l’Europe médiévale , en dépit de l’absence de relations régulières et d’échanges entre no
72 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 7. Synthèses historico-philosophiques (II)
124 rnés vers l’avenir du siècle. Cependant, le mythe médiéval — transposition sur le plan historique du thème des Hymnes à la Nuit 
125 ages fameuses de Schlegel sur l’unité de l’Europe médiévale , écho direct de la ferveur et des illusions de Novalis186 : L’idée q
73 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Septième Partie. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
126 des modèles de l’humanité à venir : du chevalier médiéval et du gentleman de notre époque. Son port royal contredit le proverbe
127 ues qui, les premiers, ont étudié la civilisation médiévale pour elle-même, et non plus comme un moyen d’atteindre quelque autre
128 nche de l’apologétique, et à idéaliser la culture médiévale pour exalter leur idéal religieux. En réalité, cette façon d’écrire l
129 éclin de l’Empire romain et l’aurore de « l’unité médiévale  » (ve au xie siècle). Il ne croit pas que l’humanisme et la techniq
130 er du côté de l’Ouest, vers l’Atlantique. L’unité médiévale ne dura donc point, car elle avait pour base l’union de l’Église et d
131 Thomas d’Aquin, Descartes et Kant, les empereurs médiévaux et les rois « par la grâce de Dieu » de France et d’Espagne, dans l’é
74 1962, Arts, articles (1952-1965). L’Europe détient les secrets de l’avenir, mais a-t-elle la volonté de vivre ? (13 juin 1962)
132 Rome républicaine, puis sur la place des communes médiévales . Il n’est pas de démocratie, au sens européen du terme, qui ne repose
75 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
133 Rome républicaine, puis sur la place des communes médiévales . Ombre et soleil changeant avec les heures ; côté de l’église et côté
76 1962, Articles divers (1957-1962). La commune, base essentielle de notre civilisation (novembre-décembre 1962)
134 Rome républicaine, puis sur la place des communes médiévales . Ombre et soleil changent avec les heures ; côté de l’église et côté
77 1963, Articles divers (1963-1969). Le fédéralisme suisse (1963)
135 culture, aux sources variées de l’Europe antique, médiévale et moderne. Autant de réalités ou d’entités qui n’ont pas les mêmes f
78 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 5. Un langage commun
136 esure spirituelle qui conférait aux civilisations médiévale et classique leur grandeur et leur sens unanime. Nous vivons par exem
79 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 6. Vocation et destin d’Israël
137 enne, Grèce de Périclès, Rome des Césars, papauté médiévale , empires égyptien et aztèque, Chine des grandes dynasties.) Mais la m
80 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
138 e une espèce de tranquillisant de type archaïque ( médiéval ) permettant de prendre en patience nos maux inévitables, mais aucun a
139 xemples de dissociations nécessaires. 1. L’Église médiévale avait lié la vérité chrétienne à la cosmologie de Ptolémée, à la phil
81 1963, Articles divers (1963-1969). L’amour ? le mariage ? la fidélité ? l’adultère ? la passion ? le couple ? (25 octobre 1963)
140 té le langage nécessaire aux aspirations de l’âme médiévale , qui leur ont permis de s’exprimer et de s’avouer au grand jour. Pour
82 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
141 omposeront les cartes nouvelles, selon la formule médiévale des portulans, compliqués autant que l’on voudra. On peut imaginer qu
83 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Introduction
142 estituée par la méditation sur une place de bourg médiéval ou sur un horizon de collines boisées et de vergers en fleurs auprès
84 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « L’histoire suisse commence avec Guillaume Tell »
143 époque helvéto-romaine s’est transmis à la Suisse médiévale et régionale. Les pagi jouissaient chez les Helvètes d’une vie locale
85 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Ce petit peuple égalitaire… »
144 et dans leurs pactes, c’est l’esprit des communes médiévales . Esprit corporatif mais non collectiviste, esprit de la cité grecque
86 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Première partie. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Il a fallu plus de six siècles pour fédérer les cantons suisses »
145 su des traditions du Saint-Empire et des communes médiévales , puis de la pratique empirique de régimes mis en place pendant le xix
87 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Troisième partie. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
146 e enfin, aux sources variées de l’Europe antique, médiévale et moderne. Autant de réalités ou d’entités qui n’ont pas les mêmes f
147 es catégories de pensée, l’esprit du Saint-Empire médiéval , ou le romantisme allemand. Des revues telles que la Neue Schweizer R
88 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Quatrième partie. La Suisse, dans l’avenir européen
148 omposeront les cartes nouvelles, selon la formule médiévale des portulans, compliqués autant que l’on voudra. On peut imaginer qu
89 1965, Articles divers (1963-1969). La Suisse, maquette pour une Europe du bonheur (automne 1965)
149 iton à l’oreille, sa piété catholique, son patois médiéval , s’il rencontrait un jour un banquier de Genève, avec son chic anglai
90 1966, {Title}. « J’essaie d’imaginer mes lecteurs japonais… » (janvier 1966)
150 la lutte sociale par le duel, comme dans l’Europe médiévale et renaissante. De ces conflits de forces contraires, mais que l’on e
91 1967, Articles divers (1963-1969). Au-delà des nations (1967)
151 médiates à l’Europe » — comme les communes libres médiévales étaient « immédiates à l’Empire » et tiraient de là leurs libertés —
92 1968, Articles divers (1963-1969). De l’État-nation aux régions fédérées (1968)
152 rands empires traditionnels jusqu’au Saint-Empire médiéval , bien qu’il n’en ait ni la pluralité ethnique et linguistique, ni le
153 médiates à l’Europe » — comme les communes libres médiévales étaient « immédiates à l’Empire » et tiraient de là leurs libertés —
93 1968, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Vers une fédération des régions (hiver 1967-1968)
154 médiates à l’Europe » — comme les communes libres médiévales étaient « immédiates à l’Empire » et tiraient de là leurs libertés —
94 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Il faut réinventer l’Université (29 juin 1968)
155 upe de recherche sont restées celles d’un studium médiéval  : dix à quinze étudiants pour un maître. Ces groupes pouvant se combi
95 1969, Articles divers (1963-1969). De l’Aar à l’Europe (1969)
156 prend ses sources, et ce district de forteresses médiévales édifiées sur un camp romain autour de la colline de la Habsbourg, où
157 ustre au départ torrentueux l’esprit des communes médiévales , source des libertés confédérales. Berne ensuite et le cours plus lar
96 1969, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). Une longue et vieille histoire (7 juin 1969)
158 aques, helléniques) ne cessaient d’animer le rêve médiéval . Car même si l’on décrète l’impossibilité d’un lien quelconque entre
97 1969, Journal de Genève, articles (1926–1982). « Non, notre civilisation n’est pas mortelle ! » (30-31 août 1969)
159 avec ses dieux à formes humaines, l’architecture médiévale avec les voûtes romanes et les flèches gothiques, les troubadours ave
98 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
160 e communautaire qui domine l’existence de l’homme médiéval ne peut être compris dans ses structures complexes qu’à partir des mo
99 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
161 médiates à l’Europe » — comme les communes libres médiévales étaient « immédiates à l’Empire » et tiraient de là leurs libertés —
100 1970, Le Cheminement des esprits. Diagnostics de la culture — Pronostics 1969 (une interview)
162 avec ses dieux à formes humaines, l’architecture médiévale avec les voûtes romanes et les flèches gothiques, les troubadours ave