1 re cette bouche et ce front, disent d’un sobre et méditant regard le mot suprême de la Saison, ce cri sourd du plus lucide héroï

2 lade d’un autre œil, depuis que je lis Paracelse, méditant avec appétit sur ce qui va contribuer à bâtir mon microcosme… Et j’ai

3 t-il errer, se retournant souvent vers son passé, méditant sur l’oubli jusqu’à ce qu’un souvenir bouge et s’émeuve… Où se perdre

4 lade d’un autre œil, depuis que je lis Paracelse, méditant avec appétit sur ce qui va contribuer à bâtir mon microcosme… Et j’ai

5 t-il errer, se retournant souvent vers son passé, méditant sur l’oubli jusqu’à ce qu’un souvenir bouge et s’émeuve… Où se perdre

6 e cette bouche et ce front, disent d’un sombre et méditant regard le mot suprême de la Saison, ce cri sourd du plus lucide héroï

7 is, de Novalis perdant Sophie von Kuhn, de Guérin méditant sur la mort de Marie, ou de Nerval poursuivant l’image d’Aurélia, Ant

8 lade d’un autre œil, depuis que je lis Paracelse, méditant avec appétit sur ce qui va contribuer à bâtir mon microcosme… Et j’ai

9 t-il errer, se retournant souvent vers son passé, méditant sur l’oubli jusqu’à ce qu’un souvenir bouge et s’émeuve… Où se perdre

10 , Chateaubriand passa des heures d’heureux ennui, méditant sur la gloire et les jeux de Ferney. Le souvenir de Voltaire anime to

11 , Chateaubriand passa des heures d’heureux ennui, méditant sur la gloire et les jeux de Ferney. Le souvenir de Voltaire anime to

12 uropéen. Dès 1791, le philosophe français Volney, méditant sur la mort des civilisations, citait à peu près les mêmes noms pour

13 adition de pessimisme européen. Dès 1791, Volney, méditant sur la mort des civilisations, citait à peu près les mêmes noms pour

14 adition de pessimisme européen. Dès 1971, Volney, méditant sur la mort des civilisations, citait à peu près les mêmes noms pour