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gence d’un côté, action de l’autre, et surtout ne
mélangeons
rien. Tributaires d’une culture dont l’ambition suprême était de se «
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renez l’exemple d’un tableau. Il ne s’agit pas de
mélanger
toutes les couleurs pour aboutir à l’harmonie. Il faut au contraire p
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gence d’un côté, action de l’autre, et surtout ne
mélangeons
rien. Tributaires d’une culture dont l’ambition suprême était de se «
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renez l’exemple d’un tableau. Il ne s’agit pas de
mélanger
toutes les couleurs pour aboutir à l’harmonie. Il faut au contraire p
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s chiffres et des sentiments. Il ne faut pas tout
mélanger
… Et en effet, nous mélangeons de moins en moins notre pensée à notre
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. Il ne faut pas tout mélanger… Et en effet, nous
mélangeons
de moins en moins notre pensée à notre action. L’impuissance de la pe
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s chiffres et des sentiments. Il ne faut pas tout
mélanger
… Et, en effet, nous mélangeons de moins en moins notre pensée à notre
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Il ne faut pas tout mélanger… Et, en effet, nous
mélangeons
de moins en moins notre pensée à notre action. L’impuissance de la pe
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’Europe. Elle ne pouvait pas les supprimer ou les
mélanger
. Elle a donc dû trouver le moyen de les composer. C’est le problème q
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our blesser l’amour entre deux peuples que de les
mélanger
dans leurs épreuves. Les jeunes Américains se sont trouvés mêlés au g
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x ». L’Amérique est du reste un pays si vaste, si
mélangé
et si divers, que tout y est toujours vrai quelque part. C’est un rés
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Américains des Russes ? L’opinion est extrêmement
mélangée
. En général, les hommes d’affaires voudraient que ce monde lointain s
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gence d’un côté, action de l’autre, et surtout ne
mélangeons
rien. Tributaires d’une culture dont l’ambition suprême était de se «
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renez l’exemple d’un tableau. Il ne s’agit pas de
mélanger
toutes les couleurs pour aboutir à l’harmonie. Il faut au contraire p
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gence d’un côté, action de l’autre, et surtout ne
mélangeons
rien. Tributaires d’une culture dont l’ambition suprême était de se «
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our blesser l’amour entre deux peuples que de les
mélanger
dans leurs épreuves. Les jeunes Américains se sont trouvés mêlés au g
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n masse, et qu’il devienne possible en général de
mélanger
toutes choses impunément. Voyez-vous, cet homme Kierkegaard, c’était
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s si l’on tentait d’unifier le continent, de tout
mélanger
, et d’obtenir une sorte de nation européenne, où Latins et Germains,
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ue dans une fédération, elles n’auraient pas à se
mélanger
, mais au contraire à fonctionner de concert, chacune selon sa vocatio
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si l’on tentait d’unifier le continent, de tout y
mélanger
, et d’obtenir une sorte de nation européenne où Latins et Germains, S
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que dans une fédération elles n’auraient pas à se
mélanger
, mais au contraire à fonctionner de concert, chacune selon sa vocatio
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abriquer un Européen, que prendrez-vous ? Si vous
mélangez
toutes nos nationalités au hasard, vous n’obtiendrez, au mieux, que d
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en d’européen. Le vrai problème n’est pas de nous
mélanger
, mais de nous unir dans nos diversités. Il faut nous prendre comme no
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abriquer un Européen, que prendrez-vous ? Si vous
mélangez
toutes nos nationalités, au hasard, vous obtiendrez au mieux des Amér
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es, deux par deux ou trois par trois. Vous pouvez
mélanger
, par exemple, de la culture germanique et des Espagnols, du socialism
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ressources militaires des six pays ? S’agit-il de
mélanger
les soldats allemands et français dans des compagnies commandées par
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e continuer par l’autre, ni même d’essayer de les
mélanger
ou combiner à la faveur d’un savant dosage. Car un homme qui ne serai
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sure toutefois où elles ne s’isolent pas ni ne se
mélangent
indiscernablement, mais demeurent en tension, — autonomes et reliées.
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sure toutefois où elles ne s’isolent pas ni ne se
mélangent
indiscernablement, mais demeurent en tension — autonomes et reliées.
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ourquoi pas ? Mais il faut en avertir. On préfère
mélanger
les clichés et les faits, et l’on invoque Michelet pour faire passer
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ultures nationales. Vous n’arriverez jamais à les
mélanger
pour faire une culture européenne synthétique. La troisième objection
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our unir l’Europe, il ne saurait être question de
mélanger
toutes nos cultures en vue d’obtenir une culture européenne. C’est ab
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l’Europe sont des nations de sang essentiellement
mélangé
. Le fait de la race, capital à l’origine, va donc toujours perdant de
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, ce foyer d’un effort soudain et irréfléchi pour
mélanger
radicalement les rangs et, par conséquent, les races, est, par cela m
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si l’on tentait d’unifier le continent, de tout y
mélanger
, et d’obtenir une sorte de nation européenne où Latins et Germains, S
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que dans une fédération elles n’auraient pas à se
mélanger
, mais au contraire à fonctionner de concert, chacune selon sa vocatio
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est une sorte de rouleau compresseur qui va tout
mélanger
et uniformiser, tout écraser sur son passage. Telles sont quelques-un
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à quelque super-État.65 5. Fédérer n’est pas
mélanger
Aux nationalistes maussades ou agressifs, conservateurs frileux et
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ion, sans se subordonner l’une à l’autre, sans se
mélanger
, en restant donc parfaitement distincte. Il y a donc une ressemblance
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et vides tant que la « bonne volonté européenne »
mélangera
les déclarations louant l’union et les professions de foi nationalist
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nsé qu’il y avait des ordres de réalités à ne pas
mélanger
. Il n’était pas question d’imposer la même religion, la même économie
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rmains qui viennent à la rencontre des Celtes, se
mélangent
avec eux et finissent par recouvrir aussi une bonne partie de l’Europ
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et les hommes se métamorphosent, s’absorbent, se
mélangent
. Une deuxième dimension sera introduite, quand l’individu se détacher
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git pas, pour faire une fédération européenne, de
mélanger
toutes les langues, d’arriver à une espèce d’esperanto ; il s’agit de