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du prolétariat, destin du capitalisme, destin du
machinisme
. Le destin du siècle, c’est le destin des ismes, qui sont — en fin de
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e but de la machine ? Une économie de travail. Le
machinisme
est, en principe, destiné à créer du loisir, dans une société dont la
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ique aboutit : au lieu de créer de la liberté, le
machinisme
crée du chômage. Ce paradoxe est lié à l’essence même de la société c
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telles que les loisirs créés théoriquement par le
machinisme
se trouvaient aussitôt absorbés par des activités nouvelles. À la fav
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e certaine limite d’absorption étant atteinte, le
machinisme
développerait son pouvoir réel de « libération ». La liberté fait plu
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ipité brusquement les conséquences nécessaires du
machinisme
en régime capitaliste. Si nous examinons les courbes d’accroissement
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e nous tentons maintenant de solder. Un siècle de
machinisme
, ou plutôt d’inflation mécanique, si l’on convient que la mesure du t
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au sérieux des problèmes tels que le chômage, le
machinisme
, le fédéralisme ou l’État, — comme si les parlements et les partis n’
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lème dont traite cet ouvrage (travail et chômage,
machinisme
, syndicats, échange et troc, crédit, taylorisme) les liens étroits qu