1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 et nous tend les premiers qui lui tombent sous la main  : le sport et la morale romaine. Dans sa hâte salvatrice, M. de Month
2 laurier. Vous n’êtes pas couronnés d’olivier. La main connaît la main dans la prise du témoin. L’épaule connaît l’épaule da
3 ’êtes pas couronnés d’olivier. La main connaît la main dans la prise du témoin. L’épaule connaît l’épaule dans le talonnage
2 1926, Articles divers (1924–1930). L’atmosphère d’Aubonne : 22-25 mars 1926 (mai 1926)
4 it chanta « les Crapauds » avec âme, appuyé d’une main sur l’épaule de Janson, et de l’autre dessinant dans l’air des phrase
3 1927, Articles divers (1924–1930). Jeunes artistes neuchâtelois (avril 1927)
5 , aux yeux clairs et assurés, le cou robuste, les mains d’un si beau dessin, qui ont du poids et nulle lourdeur, tout cela co
4 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
6 homme avait posé son journal. Soudain, portant la main à son gilet, il en retira trois dés qu’il jeta sur la table. Les yeux
7 usion d’un hasard qui opère au commandement de la main . Ce soir-là, une confiance me possédait, telle que je savais très cla
8 per, je m’abats sur mon lit, les cheveux dans les mains . Et je voudrais pouvoir pleurer sur ma lâcheté. Et je t’apostrophe, s
5 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
9 ’une créature aussi parfaite soit touchée par les mains outrageusement baguées de ces courtiers alourdis de “Knödl”. En Orien
6 1929, Articles divers (1924–1930). La tour de Hölderlin (15 juillet 1929)
10 ts au crâne rasé se promènent un roman jaune à la main . L’un après l’autre, dans cette paresse de jour férié, les clochers d
7 1930, Articles divers (1924–1930). Le prisonnier de la nuit (avril 1930)
11 qu’un désert qu’un sol dur aux genoux tends les mains au vent captif délivre un souffle tes lèvres battent doucement écoute
12 battent doucement écoute-les. IV Tends moi la main à travers cette ombre rapide si je te joins nous la tiendrons captive
13 ur du feu et de la joie. V Oh qui a retiré tes mains des miennes quand je te regardais trop profond pour te voir ? Mainten
14 e saison morte au tombeau des fleurs obscures les mains de l’absence se ferment sur le vide tu pleurerais mais la grâce est f