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es chamois ». On s’émerveille de le voir, dans sa
main
rapide et minutieuse, décrire la vallée du jeune Rhin ou les pentes d
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che de pardessus, me donnait l’autre à serrer, la
main
n’étant pas encore sortie… Dormir au fil de l’eau, entre l’étrange nu
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face des bouffons qui plongent invariablement les
mains
dans leurs vastes poches insulaires pour m’informer de cette irrécusa
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ois frapper le sol du talon en levant un bras, la
main
à la nuque ; frapper le sol de l’autre talon en changeant de main ; s
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; frapper le sol de l’autre talon en changeant de
main
; saisir la danseuse sous les bras (elle pose alors ses mains sur les
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ir la danseuse sous les bras (elle pose alors ses
mains
sur les épaules du cavalier) et la faire pirouetter un quart de tour
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inverse ; frapper des talons toujours plus vite,
mains
à la nuque, mains à la hanche, mains à la danseuse ; partir en martel
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des talons toujours plus vite, mains à la nuque,
mains
à la hanche, mains à la danseuse ; partir en martelant le parquet jus
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s plus vite, mains à la nuque, mains à la hanche,
mains
à la danseuse ; partir en martelant le parquet jusqu’à produire un ro
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— elles ont des mouvements vifs du buste, et des
mains
pleines de drôleries ou de supplication. Je ne sais ce que disent les
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la nuit déserte jusqu’à l’horizon. Où vas-tu, les
mains
vides, faiblement ? Ah ! toutes les actions précises et courageuses,
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j’appelle quelqu’un qui vienne me prendre par la
main
. Ainsi je quitte la Hongrie. Serait-ce là tout ce qu’elle m’a donné ?
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tu joues ce rôle, tu t’intéresses, tu serres des
mains
, — tu perds les clefs de tes valises… (Cela encore : m’arrêter à Vien