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ons ». Une suite de hasards m’ayant mis entre les
mains
, au cours de l’été dernier, quelques écrits populaires sur le Bienheu
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re la culture et l’action, entre le cerveau et la
main
. Les résultats de ce divorce sont infinis. Mais le plus décisif, sans
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alors, qui est responsable de ce divorce entre la
main
et le cerveau ? Nous voyons bien où il nous a menés. Essayons de voir
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e d’un Ponce Pilate, le sceptique qui se lave les
mains
et laisse les choses suivre leur cours fatal. En présence des machine
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ner le mal parce qu’ils croyaient au bien fait de
main
d’homme. « Mea culpa » des militaristes, qui n’ont pas su imaginer un
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la morale tomberait alors dans de très mauvaises
mains
, serait en quelque sorte livrée au « monde » ? Ce qui semble effrayer
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rois mots : pensez au noir. Ne pensez pas à votre
main
, ni à ce que fait l’index qui a pris le cran d’arrêt. Laissez-vous si
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’on fait une faute, si on touche la balle avec la
main
au football par exemple, on doit être pénalisé ou même disqualifié, m