1 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
1 es ont juré, après Sempach, de ne jamais forcer à main armée un lieu consacré par l’Église. À Dieu ne plaise que je trahisse
2 cusé ? Qu’il s’annonce ! (Silence, puis plusieurs mains se lèvent.) La parole est au Landamman ! Le Landamman. —  Cet homm
3 ceux qui jugent en faveur du plaignant lèvent la main  ! (Nicolas seul lève la main.) Que ceux qui jugent en faveur de l’acc
4 plaignant lèvent la main ! (Nicolas seul lève la main .) Que ceux qui jugent en faveur de l’accusé lèvent la main ! (Derriè
5 e ceux qui jugent en faveur de l’accusé lèvent la main  ! (Derrière les quatre autres juges surgissent quatre démons qui leu
6 ges surgissent quatre démons qui leur prennent la main droite et l’élèvent.) Le 1er juge. —  Plaignant, tu es débouté. Acc
7 Les enfants du solitaire Si tu les tiens dans ta main Éternel, ô Père ! Le chœur céleste et le chœur des enfants. Louo
2 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
8 e chaleur naturelle, comme on dit. Tu touches ses mains , c’est des glaçons. Et une figure de mort qu’on porte en terre. 1e
9 roi. Signe du ciel ! Une épée nue brandie par une main coupée ! À l’Orient, j’entends mugir un cor lugubre et retentir un no
3 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
10 Grandson, il ne lui restait plus qu’à dévorer ses mains de rage ! Après Morat, son fou prophétisait : « Prince couvert d’écar
11 du plan 2, lumière : on voit Haimo, le bâton à la main , qui s’avance vers les marches conduisant au plan 3.) Choral ii. N
12 nd les hommes au sang jeune et violent tendent la main vers les armes luisantes, il est trop tard pour avertir. Vous n’avez
13 uis-je, moi, pour m’opposer à l’œuvre juste de ta main , de ta vengeance ! Tu as raison quand tu nous damnes. Tu as raison qu
14 t ! Voix de la coulisse. —  Ils se serrent les mains  ! Ils s’embrassent ! Voix sur la place. —  Ils se serrent les main
15 ent ! Voix sur la place. —  Ils se serrent les mains  ! Ils s’embrassent ! Voix de la coulisse. —  Les voici ! Voix s
16 e Oui tous, encor, jubilez et riez ! Battez des mains , peuple, pour Nicolas, Unissez-vous à l’éclat des fanfares Vous tous