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ble agit ailleurs, sans queue ni barbe, par leurs
mains
peut-être. Ce qui me paraît incroyable, ce n’est pas le diable, et ce
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té de la cruauté : c’est lui qui a pris le jeu en
main
! C’est lui qui invente nos sophismes moraux, efface nos catégories,
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oire par délégation ? Voyez-le, qui se frotte les
mains
. La paix, pour lui, n’est pas le malheur que l’on croit. C’est le tem
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dites qui l’a fait. Le diable ? Oui, mais par nos
mains
et nos pensées. C’est ici le moment de nous rappeler notre slogan dém
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iable était Hitler. Et le diable s’est frotté les
mains
. (Hitler aussi.) Peut-être serait-il plus fécond maintenant, plus amu
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sa grandeur « et l’étendue célèbre l’œuvre de ses
mains
». Le diable a voulu faire aussi son propre Ouvrage. Mais il ne peut
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ropre Ouvrage. Mais il ne peut œuvrer que par nos
mains
. Et c’est pourquoi, l’artiste et l’écrivain sont terriblement exposés
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ne s’est pas trouvé un seul soldat pour porter la
main
sur Caius Marius, telle est la vérité. Mais trois ou quatre femmes, d
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Car une foule est une abstraction, qui n’a pas de
mains
, mais chaque homme isolé a, dans la règle, deux mains, et lorsqu’il p
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s, mais chaque homme isolé a, dans la règle, deux
mains
, et lorsqu’il porte ces deux mains sur Marius, ce sont ses mains, non
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la règle, deux mains, et lorsqu’il porte ces deux
mains
sur Marius, ce sont ses mains, non celles du voisin, et non celles de
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u’il porte ces deux mains sur Marius, ce sont ses
mains
, non celles du voisin, et non celles de la foule qui n’a pas de mains
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voisin, et non celles de la foule qui n’a pas de
mains
.20 Reconnaissons ici la vieille tactique, la sempiternelle tactique
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Eh bien oui, je suis là, dit-elle. (Je tenais sa
main
. Je sentis qu’elle avait de la fièvre). Je suis là parce que tu es ve
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’Ordre, la sommation, le sens final, sont dans la
main
de Dieu, qui est le Bien. Si au contraire, tout était dans nos mains,
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est le Bien. Si au contraire, tout était dans nos
mains
, comme le serpent tentait de nous en persuader, tout serait bientôt g
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persuader, tout serait bientôt gâché et dans les
mains
du diable. Si nous étions des dieux, il n’y aurait plus d’espoir : la
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e suis Dieu ? Tu seras homme, et non Dieu Sous la
main
de celui qui te tuera. Face aux Tyrans tout devient clair et décisif
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ême. Diogène cherchait un homme, la lanterne à la
main
. Je ne m’étonne pas qu’il n’en ait point trouvé. Le vrai moyen de ren