1 1948, Suite neuchâteloise. V
1 ule qui me sourit dans sa mantille, retenue d’une main sur la gorge opulente, vint de Béziers au temps des dragonnades. Parm
2 1948, Suite neuchâteloise. VII
2 entit, pose un pied sur le sol, et s’appuie de la main au tronc d’un pin. Ce qui lui arrive est solennel, comme l’attente du
3 1948, Suite neuchâteloise. VIII
3 respect, ou quelque obscure sagesse ont retenu ma main , je me dis : c’est encore un petit lièvre ! et poursuis mon chemin pl