1 1962, Les Chances de l’Europe. I. L’aventure mondiale des Européens
1 vaste corps ». Voici le passage : En sortant des mains de la nature, notre partie du monde n’avait reçu aucun titre à cette
2 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
2 nouvelle croisade — Byzance venait de tomber aux mains des Turcs — et qui avait été le premier à parler de l’Europe comme d’
3 pe, placés en face l’un de l’autre, se tendant la main par-dessus les mers, échangeant leurs produits, leur commerce, leur i
3 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
4 autre successeur, hypothétique, reprenant de nos mains débiles ce qu’on appelait jadis « le flambeau de la civilisation » ?
5 nt. Elles dépendent de l’esprit, agissant par nos mains . Le temps n’est plus pour nous de chercher anxieusement à deviner le
6 acun d’eux semble appelé à tenir un jour dans ses mains les destinées de la moitié du monde. »), cf. p. 268 à 276 de l’op. ci