1 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Introduction au Journal d’un intellectuel en chômage (août 1937)
1 nder autour de moi si l’on ne connaissait pas une maison vide quelque part… On me la trouva bien vite : au bout du monde, dans
2 L’année suivante, ce fut le Midi : là encore une maison abandonnée qu’on nous prêtait. Il y en a comme cela des centaines, de
2 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
3 le noir, et l’écho de mes pas contre les murs des maisons mortes. Je me glisse dans le hangar de la grosse voiture et tâte ses
4 des fragments de silhouettes d’arbres devant les maisons . La rumeur de la mer arrive par bouffées. Puis c’est de nouveau cet é
5 des bouleversements que nous avons infligés à la maison . Pas question d’aller quérir du renfort à A. Il faut encore boucler l
3 1938, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Caquets d’une vieille poule noire (août 1938)
6 ssance page 92. L’auteur habite avec sa femme une maison prêtée ; avec la maison, il y a un jardin ; au fond du jardin, cette
7 habite avec sa femme une maison prêtée ; avec la maison , il y a un jardin ; au fond du jardin, cette poule. Elle n’a pas fait
4 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
8 e des coteaux. » On ne distingue pas encore cette maison célèbre, cachée dans les bosquets au bout d’une longue allée qui mont
9 ’est sa manière de se venger de J. car c’était la maison de ses ancêtres, à lui. Elle la déteste. Elle n’aime vraiment que ses
10 skies, sans se déranger. Nous traversons toute la maison , puis une large galerie ouverte, encombrée de vieux meubles et de piè
11 oute le nouvel intendant. « Je vous retrouve à la maison  ! », crie-t-elle. Et, piquant son cheval, penchée sur l’encolure, ell
12 Je ne le sais pas plus que vous. Ils sont dans la maison depuis deux ou trois jours et se disent les amis de Jim. — Mais où es