1
nder autour de moi si l’on ne connaissait pas une
maison
vide quelque part… On me la trouva bien vite : au bout du monde, dans
2
L’année suivante, ce fut le Midi : là encore une
maison
abandonnée qu’on nous prêtait. Il y en a comme cela des centaines, de
3
le noir, et l’écho de mes pas contre les murs des
maisons
mortes. Je me glisse dans le hangar de la grosse voiture et tâte ses
4
des fragments de silhouettes d’arbres devant les
maisons
. La rumeur de la mer arrive par bouffées. Puis c’est de nouveau cet é
5
des bouleversements que nous avons infligés à la
maison
. Pas question d’aller quérir du renfort à A. Il faut encore boucler l
6
ssance page 92. L’auteur habite avec sa femme une
maison
prêtée ; avec la maison, il y a un jardin ; au fond du jardin, cette
7
habite avec sa femme une maison prêtée ; avec la
maison
, il y a un jardin ; au fond du jardin, cette poule. Elle n’a pas fait
8
e des coteaux. » On ne distingue pas encore cette
maison
célèbre, cachée dans les bosquets au bout d’une longue allée qui mont
9
’est sa manière de se venger de J. car c’était la
maison
de ses ancêtres, à lui. Elle la déteste. Elle n’aime vraiment que ses
10
skies, sans se déranger. Nous traversons toute la
maison
, puis une large galerie ouverte, encombrée de vieux meubles et de piè
11
oute le nouvel intendant. « Je vous retrouve à la
maison
! », crie-t-elle. Et, piquant son cheval, penchée sur l’encolure, ell
12
Je ne le sais pas plus que vous. Ils sont dans la
maison
depuis deux ou trois jours et se disent les amis de Jim. — Mais où es