1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Almanach 1925 (septembre 1925)
1 ture d’avant-garde entre 1900 et 1910. Depuis, la maison paraît s’être un peu embourgeoisée… Disons plutôt que voici venu le t
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jules Supervielle, Gravitations (décembre 1925)
2 te à la voix grave qu’on appelle un père dans les maisons . » Comme Valéry, ce poète sait « des complicités étranges pour assemb
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
3 pposent avec hostilité. Dans l’intérieur des deux maisons pourtant se débattent les mêmes brouilles de famille entre Art et Mor
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
4 immenses livrées au 100 à l’heure des autos. Les maisons habitées ne sont plus que des enceintes transparentes, et minces en r
5 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
5 encore sa femme, « mais comme on aime une petite maison de province quand on a failli hériter de Chenonceaux ». Peu à peu l’i
6 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Marguerite Allotte de la Fuye, Jules Verne, sa vie, son œuvre (juin 1928)
6 du cinéma ! Claretie raconte que les détenus des maisons de correction se jetaient sur ces volumes « au travers desquels ils r
7 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
7 ndre que les sources de la poésie sont dans notre maison . Voici un de ces passages où il sait être, avec sa verve doucement co
8 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cassou, La Clef des songes (août 1929)
8 urer. Quel dommage qu’il s’égare parfois dans les maisons des grands bourgeois, où tout, soudain, devient plus terne. Mais bien
9 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
9 ien, jeunesse… Je me suis endormi dans une grande maison calme aux voûtes sombres, qui est un Collège célèbre. 2. La recher
10 de statues dégradées et charmantes. (Vue sur des maisons pauvres un peu plus bas, avec du linge dans des courettes poussiéreus
11 e la petite ville aux rues de terre brûlante, aux maisons jaunes basses, ville sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la
12 sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la maison du poète, sur un coteau. Trois chambres boisées entourées d’une large
13 y est, je grimpe au cerisier sauvage, derrière la maison , un peintre tout en blanc arrive par les vignes, ah ! qu’il fait beau
10 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
14 st une sorte d’enivrant péché. — Nous aurions une maison dans ce désert aux formes tendres et déjà familières, et le passage d
15 aux sables de la plaine du Hortobágy, aux longues maisons jaunes immensément alignées, autour d’une place rectangulaire qui res
16 noir, piqués de petits arbres et d’un désordre de maisons basses, les dernières de la ville de Debrecen, au bord de la Grande P