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ste monde. À ceux-là, je dois la nourriture de ma
maison
, comme à des dieux. « Aidez-moi ! », dit cette femme. Mais la plupar
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stent et vous contredisent, comme par exemple une
maison
trop grande, un feu de bois vert qu’on s’ingénie à allumer dans une c
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n la vision classique : « Cessons de regarder les
maisons
: ce qui m’intéresse ici, c’est la foule. » Je me souviens alors de G
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t du vallon par un cyprès grandiloquent. Et cette
maison
couleur de terre et festonnée de tuiles roses, elle est bien à la res
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. 6 mai La mort et les cérémonies dans le Gard La
maison
de Simard recèle un effrayant secret qu’on m’avait laissé ignorer : u
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… — Il est parti. Le bassin est à 50 mètres de la
maison
, sur une terrasse qu’on ne peut voir d’ici. Je ne comprends pas très
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t : c’est bien ta fôte ! Ça aurait été dans votre
maison
qu’il y aurait eu un mort, je comprendrais, je n’aurais pas non plus
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plus lavé la vaisselle. Mais ce n’est pas la même
maison
. — Je ne comprends pas. Madame Calixte. Pourquoi ne peut-on pas laver
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s laver la vaisselle quand il y a un mort dans la
maison
? II faut bien continuer à vivre, et à manger, et à laver, il me semb
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nt il n’y a guère à signaler. Sinon peut-être les
maisons
vides. Il faut avouer qu’on en trouve d’assez belles. Au fond d’un va
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La rampe conduit à une vaste terrasse herbue. Une
maison
de maître d’assez beau style, ornée d’un perron à double escalier, fo
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n solaire, surmontée d’une girouette. Derrière la
maison
de maître, sur le flanc de la montagne, un jardin en terrasses, enclo
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ette fait entendre un long cri presque humain. La
maison
la plus proche est à une bonne demi-heure. Il n’y a pas de route. On