1 1934, Esprit, articles (1932–1962). Sur une nouvelle de Jean Giono (novembre 1934)
1 ste monde. À ceux-là, je dois la nourriture de ma maison , comme à des dieux. « Aidez-moi ! », dit cette femme. Mais la plupar
2 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
2 stent et vous contredisent, comme par exemple une maison trop grande, un feu de bois vert qu’on s’ingénie à allumer dans une c
3 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
3 n la vision classique : « Cessons de regarder les maisons  : ce qui m’intéresse ici, c’est la foule. » Je me souviens alors de G
4 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
4 t du vallon par un cyprès grandiloquent. Et cette maison couleur de terre et festonnée de tuiles roses, elle est bien à la res
5 . 6 mai La mort et les cérémonies dans le Gard La maison de Simard recèle un effrayant secret qu’on m’avait laissé ignorer : u
6 … — Il est parti. Le bassin est à 50 mètres de la maison , sur une terrasse qu’on ne peut voir d’ici. Je ne comprends pas très
7 t : c’est bien ta fôte ! Ça aurait été dans votre maison qu’il y aurait eu un mort, je comprendrais, je n’aurais pas non plus
8 plus lavé la vaisselle. Mais ce n’est pas la même maison . — Je ne comprends pas. Madame Calixte. Pourquoi ne peut-on pas laver
9 s laver la vaisselle quand il y a un mort dans la maison  ? II faut bien continuer à vivre, et à manger, et à laver, il me semb
10 nt il n’y a guère à signaler. Sinon peut-être les maisons vides. Il faut avouer qu’on en trouve d’assez belles. Au fond d’un va
11 La rampe conduit à une vaste terrasse herbue. Une maison de maître d’assez beau style, ornée d’un perron à double escalier, fo
12 n solaire, surmontée d’une girouette. Derrière la maison de maître, sur le flanc de la montagne, un jardin en terrasses, enclo
13 ette fait entendre un long cri presque humain. La maison la plus proche est à une bonne demi-heure. Il n’y a pas de route. On