1 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
1 tils, les armes et les pots, les vêtements et les maisons , toutes choses un peu plus fortes ou plus solides que l’homme, et qui
2 é si bas ! Le cœur se serre quand on parcourt ces maisons fées où le fer et le cuivre, éblouissants, polis, semblent aller d’eu
3 marteau est plus dur que la main, les murs de la maison plus résistants que nos corps). Mais si vous ne priez plus, ce n’est
2 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
4 ; il ne vit pas seulement dans les mémoires : ces maisons , ces fabriques, ces allées de peupliers, ces champs gagnés sur les ma
5 de Ferney Voltaire fait construire plus de cent maisons Il donne à la ville une église, une école, un hôpital Il fait desséch
6 it de nos jours location-vente. « Il commande des maisons à son maçon comme d’autres commandent une paire de souliers à un cord
3 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un patriotisme de la terre (mars 1958)
7 e. Cinq, mille mètres au-dessous de nous, arbres, maisons , collines, perdent le seul relief où pouvait s’attacher l’amour. Notr
4 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
8 bâtir un sanctuaire, une ville, voire une simple maison . Le lieu doit se révéler « Centre du monde », intersection d’axes cos
9 transformée en un centre. De sorte que toutes les maisons — comme tous les temples, les palais, les cités — se trouvent situées
5 1959, Preuves, articles (1951–1968). Nouvelles métamorphoses de Tristan (février 1959)
10 civile. Finalement, le hasard les réunit dans une maison perdue au fond des bois où Jivago se cache, traqué par la nouvelle po
6 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
11 , petites fleurs intenses. Une place de bourg aux maisons peintes en rouge et ocre, hérissées d’enseignes baroques. Les façades
7 1968, Preuves, articles (1951–1968). Marcel Duchamp mine de rien (février 1968)
12 r 1968)be Lake George (N. Y.), 3 août 1945. La maison qui ne paraît pas grande de l’extérieur, quand on arrive par la forêt