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es avenues luisantes et ombragées. La plupart des
maisons
à vendre ou à louer. Sur les plus belles flotte un drapeau à croix ga
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rtiers : un ou deux par villa seulement. Mais les
maisons
des rues commerçantes et des quartiers populaires sont rouges du haut
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p ? — Eh bien voilà : nous étions dans une grande
maison
, logeant deux par deux dans des chambres confortables. J’avais pour c
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es chez les Allemands. Les propriétaires de notre
maison
sont ruinés. Ils n’ont plus d’autre argent liquide que celui que leur
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opension des gens ruinés à bâtir, à agrandir leur
maison
, à perfectionner leurs appareils ménagers. C’est un des secrets de l’
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e guerre, et qui ne peut plus s’occuper que de la
maison
et des comptes de location. Il a coutume de descendre les escaliers e
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ons vis-à-vis du régime, je l’emmène parfois à la
maison
pour bavarder. Lui. — Quoi de neuf depuis notre dernière rencontre ?
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oble escalier, les pièces aux meubles rares de la
maison
de Goethe, plus isolée encore et plus intime dans ce temps. Le Goethe
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doit être le discours du Führer. Personne dans la
maison
ne répond plus aux sonneries, et toutes les portes ont été fermées à