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ng village en bordure de la route. D’un côté, les
maisons
dominaient une vallée, de l’autre elles s’élevaient à peine d’un étag
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tissant à de vieux escaliers. Une seule rangée de
maisons
à traverser, et l’on parvient dans la grand-rue : comme elle est vide
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nd à droite, vers la plaine, escortée de quelques
maisons
; l’autre s’incline lentement vers la vallée, dans les vergers. Nous
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cette éventualité. Voici le plan de la ville, les
maisons
, les étages et les noms de ces messieurs, indiqués avec précision. Fo
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étonné. Mais nous avons installé un canon dans la
maison
d’en face. L’ordre récemment donné aux étrangers de déposer leurs arm
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n exercice pour rester maître de soi-même. Petite
maison
louée à mi-pente du Gurten. Au-dessous, des cités-jardins et des usin
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ra, et au-delà se passe la guerre. Derrière notre
maison
, des prairies montent jusqu’aux lisières de la forêt de sapins couron
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st le lieutenant-colonel M. qui m’accompagne à la
maison
, en voiture. J’attends deux heures. Breakfast. Une auto militaire vie
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sponsables de groupements divers. Je revois cette
maison
de Berne à deux entrées, qui nous servit parfois de rendez-vous ; des
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e, pourquoi on a coulé ce bateau, et pourquoi ces
maisons
des boulevards n’ont pas de fenêtres et des trous partout dans leurs
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rmanentes. Traces de balles aux façades et pas de
maisons
derrière, en pleine Avenida centrale. Ici, l’on n’essaie plus de maqu
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ation assiste à ce repas, massée sur le seuil des
maisons
blanches, rosies et bleuies par un merveilleux couchant. Des enfants
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arbres si riches, touffus et un peu fous ! Et ces
maisons
coloniales espacées, si intimes semble-t-il derrière leurs grands por
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et quelques rues des quartiers nègres dont chaque
maison
de brique s’orne de quatre marches de bois blanc, couvertes de bébés
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e 1940 Religion. — Nous sommes en quête d’une
maison
dans la banlieue de Manhattan. Les prospectus que je reçois ne manque
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à quoi je vais m’appliquer, tout en cherchant une
maison
; car tout cela me prendra plus de temps que ceux qui m’envoient ne l
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au coupe-papier. 15 novembre 1940 Trouvé la
maison
, signé le bail sur l’heure et nous nous installons demain, avec des m
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rte une couronne de sapin enrubannée, dans chaque
maison
, près de la fenêtre, un petit arbre où des lampes électriques multico
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On parlerait de cinquième colonne à propos de ma
maison
et de vous-même. — Savez-vous que mon livre est sur la liste noire de
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ulent rien savoir… Beaucoup là-bas ont perdu leur
maison
, et c’était leur pays et leur enfance, ils n’ont plus envie de bâtir.
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trée en matière6. 16 février 1941 Seul à la
maison
depuis deux jours. Je n’en suis sorti que pour racler et déblayer la
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les forêts de bouleaux ; à Concord où j’ai vu la
maison
d’Emerson, ses chapeaux et ses cannes accrochés dans le hall, la cham
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oduit là. Le mari trompé prend sa hache, coupe la
maison
, rebâtit deux cloisons. Les indigènes sont des métis de nègres et d’h
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e rien de ce que j’ai vu dans les États-Unis. Les
maisons
ont des numéros qui indiquent à un mètre près la distance de leur por
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mètres. Victoria Ocampo, royalement, m’a prêté sa
maison
de ville où je vis seul, comblé, mélancolique. Grande maison blanche,
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ille où je vis seul, comblé, mélancolique. Grande
maison
blanche, aux halls jonchés de peaux de vache noire et blanche, et don
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i-diable ! Dès que le compère est signalé dans la
maison
, je mets en circulation l’objet que vous voyez. Chaque employé doit l
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ar cette porte-fenêtre ouvrant sur la prairie. La
maison
très longue et très basse — une enfilade de chambres accolées comme l
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la campagne avec un couple ami qui cherchait une
maison
à vendre, et dans une ferme où nous entrons pour quêter quelque infor
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près de Greenwich village9, au haut d’une vieille
maison
de pierre brune, et quitté non sans soulagement mon hôtel. Un planch
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, je domine le toit plat, formant terrasse, d’une
maison
de trois étages qui est un couvent. Les nonnes deux par deux vont et
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le part. Et j’ai songé à cette autre retraite, la
maison
rose de « La Muette », où Ramuz lui aussi laisse venir ceux qui lui a
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Huit jours de vacances à la mer. Je partage cette
maison
de bois, au bord du Sound, avec les Saint-Exupéry. Parties d’échecs s
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d, fin septembre 1942 Bevin House. — Nouvelle
maison
à la campagne, à deux heures de New York, avec les Saint-Ex. J’y pass
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r. Bevin House, fin octobre 1942 Dans cette
maison
d’il y a longtemps, semblable à celles de mon enfance, en marge du te
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terrasse vertigineuse, je domine toute proche la
maison
des Max Ernst, dont l’atelier s’avance en éperon vers la rivière ; et
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éperon vers la rivière ; et presque contiguë, la
maison
des Saint-Exupéry : quatre étages étroits, qui furent naguère meublés
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dans une ville où personne n’en veut. Les grandes
maisons
les mettent mal à l’aise, parce qu’ils pensent tout de suite à leur u
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ires. L’idéal de l’Américain serait sans doute la
maison
d’une seule pièce, avec au centre un grand fauteuil tournant et bascu
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ent des troupeaux de chevaux, et des villages aux
maisons
de bois tristes qui s’appelaient Chantilly ou Paris mais que semblaie
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l » si j’en crois les jeunes gens de New York… La
maison
qu’on me prête est une illustration de livre anglais de mon enfance :
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vais à cinq minutes de là dîner dans la « grande
maison
», résidence de style colonial en brique sang de bœuf, ornée de haute
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e des coteaux. » On ne distingue pas encore cette
maison
célèbre, cachée dans les bosquets au bout d’une longue allée qui mont
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est sa manière de se venger de W., car c’était la
maison
de ses ancêtres, à lui. Un vrai show place. Elle la déteste. Elle n’a
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skies, sans se déranger. Nous traversons toute la
maison
, puis une large galerie ouverte, encombrée de vieux meubles et de piè
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te le nouvel intendant. — « Je vous retrouve à la
maison
! », crie-t-elle. Et piquant son cheval, penchée sur l’encolure, elle
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Je ne le sais pas plus que vous. Ils sont dans la
maison
depuis deux ou trois jours et se disent les amis de Jim. — Mais où es
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s fameuses : Saratoga, Mohawk ou Ticonderoga. Les
maisons
sont presque invisibles, dissimulées à l’ombrage des pins cascadant e
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hef de tribu politique, il possède la plupart des
maisons
riveraines, dont celle où je suis, la plus vieille : elle aura cent a
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rtée de la main. D’où la méticuleuse propreté des
maisons
de bois blanc de cette contrée, et la rigidité de sa morale, de ses p
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emmes d’âge moyen et leurs maris se partagent une
maison
que les pins nous cachent, à deux-cents pas, plus petite que la nôtre
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ns. (Seuls les Européens de mon espèce aiment les
maisons
trop grandes, en Amérique). L’un des maris se nomme Robert, son père
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Wurtemberg. Et justement nous arrivons devant une
maison
de bois peinte en jaune clair, ornée de géraniums aux fenêtres. C’est
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lusieurs églises dominent de leur masse rouge les
maisons
de bois ou de brique d’un seul étage. Je remarque un groupe de cloche
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e. Les passants me paraissent aussi laids que ces
maisons
de bois grisâtres ou vert olive, mauves ou goudron, aux parois renflé
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rien à louer dans toute la ville. J’ai trouvé une
maison
à Princeton, qui est à moins d’une heure de New York, et j’irai cherc
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ous rappellent avec sévérité que vous habitez une
maison
« distinguée », ces dos pleins de réprobation quand le visiteur n’est
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trop de foreigners… Mais il faut avouer que cette
maison
est pleine de bruits jusqu’au 5e étage, à toutes les heures. Et dans
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ne puis pas distinguer les noms des rues sur ces
maisons
jaunes ou grises et si basses. Je cherche à voir, le nez contre la vi
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uand l’avalanche balaye tout un village sauf deux
maisons
, les rescapés sont-ils honteux ? Il me semble que ces scrupules ne so