1 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
1 ng village en bordure de la route. D’un côté, les maisons dominaient une vallée, de l’autre elles s’élevaient à peine d’un étag
2 tissant à de vieux escaliers. Une seule rangée de maisons à traverser, et l’on parvient dans la grand-rue : comme elle est vide
3 nd à droite, vers la plaine, escortée de quelques maisons  ; l’autre s’incline lentement vers la vallée, dans les vergers. Nous
2 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
4 cette éventualité. Voici le plan de la ville, les maisons , les étages et les noms de ces messieurs, indiqués avec précision. Fo
5 étonné. Mais nous avons installé un canon dans la maison d’en face. L’ordre récemment donné aux étrangers de déposer leurs arm
6 n exercice pour rester maître de soi-même. Petite maison louée à mi-pente du Gurten. Au-dessous, des cités-jardins et des usin
7 ra, et au-delà se passe la guerre. Derrière notre maison , des prairies montent jusqu’aux lisières de la forêt de sapins couron
8 st le lieutenant-colonel M. qui m’accompagne à la maison , en voiture. J’attends deux heures. Breakfast. Une auto militaire vie
3 1946, Journal des deux mondes. Intermède
9 sponsables de groupements divers. Je revois cette maison de Berne à deux entrées, qui nous servit parfois de rendez-vous ; des
4 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
10 e, pourquoi on a coulé ce bateau, et pourquoi ces maisons des boulevards n’ont pas de fenêtres et des trous partout dans leurs
11 rmanentes. Traces de balles aux façades et pas de maisons derrière, en pleine Avenida centrale. Ici, l’on n’essaie plus de maqu
12 ation assiste à ce repas, massée sur le seuil des maisons blanches, rosies et bleuies par un merveilleux couchant. Des enfants
13 arbres si riches, touffus et un peu fous ! Et ces maisons coloniales espacées, si intimes semble-t-il derrière leurs grands por
5 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
14 et quelques rues des quartiers nègres dont chaque maison de brique s’orne de quatre marches de bois blanc, couvertes de bébés
15 e 1940 Religion. — Nous sommes en quête d’une maison dans la banlieue de Manhattan. Les prospectus que je reçois ne manque
16 à quoi je vais m’appliquer, tout en cherchant une maison  ; car tout cela me prendra plus de temps que ceux qui m’envoient ne l
17 au coupe-papier. 15 novembre 1940 Trouvé la maison , signé le bail sur l’heure et nous nous installons demain, avec des m
18 rte une couronne de sapin enrubannée, dans chaque maison , près de la fenêtre, un petit arbre où des lampes électriques multico
19 On parlerait de cinquième colonne à propos de ma maison et de vous-même. — Savez-vous que mon livre est sur la liste noire de
20 ulent rien savoir… Beaucoup là-bas ont perdu leur maison , et c’était leur pays et leur enfance, ils n’ont plus envie de bâtir.
21 trée en matière6. 16 février 1941 Seul à la maison depuis deux jours. Je n’en suis sorti que pour racler et déblayer la
22 les forêts de bouleaux ; à Concord où j’ai vu la maison d’Emerson, ses chapeaux et ses cannes accrochés dans le hall, la cham
6 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
23 oduit là. Le mari trompé prend sa hache, coupe la maison , rebâtit deux cloisons. Les indigènes sont des métis de nègres et d’h
24 e rien de ce que j’ai vu dans les États-Unis. Les maisons ont des numéros qui indiquent à un mètre près la distance de leur por
25 mètres. Victoria Ocampo, royalement, m’a prêté sa maison de ville où je vis seul, comblé, mélancolique. Grande maison blanche,
26 ille où je vis seul, comblé, mélancolique. Grande maison blanche, aux halls jonchés de peaux de vache noire et blanche, et don
27 i-diable ! Dès que le compère est signalé dans la maison , je mets en circulation l’objet que vous voyez. Chaque employé doit l
28 ar cette porte-fenêtre ouvrant sur la prairie. La maison très longue et très basse — une enfilade de chambres accolées comme l
7 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
29 la campagne avec un couple ami qui cherchait une maison à vendre, et dans une ferme où nous entrons pour quêter quelque infor
30 près de Greenwich village9, au haut d’une vieille maison de pierre brune, et quitté non sans soulagement mon hôtel. Un planch
31 , je domine le toit plat, formant terrasse, d’une maison de trois étages qui est un couvent. Les nonnes deux par deux vont et
32 le part. Et j’ai songé à cette autre retraite, la maison rose de « La Muette », où Ramuz lui aussi laisse venir ceux qui lui a
33 Huit jours de vacances à la mer. Je partage cette maison de bois, au bord du Sound, avec les Saint-Exupéry. Parties d’échecs s
34 d, fin septembre 1942 Bevin House. — Nouvelle maison à la campagne, à deux heures de New York, avec les Saint-Ex. J’y pass
35 r. Bevin House, fin octobre 1942 Dans cette maison d’il y a longtemps, semblable à celles de mon enfance, en marge du te
8 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
36 terrasse vertigineuse, je domine toute proche la maison des Max Ernst, dont l’atelier s’avance en éperon vers la rivière ; et
37 éperon vers la rivière ; et presque contiguë, la maison des Saint-Exupéry : quatre étages étroits, qui furent naguère meublés
38 dans une ville où personne n’en veut. Les grandes maisons les mettent mal à l’aise, parce qu’ils pensent tout de suite à leur u
39 ires. L’idéal de l’Américain serait sans doute la maison d’une seule pièce, avec au centre un grand fauteuil tournant et bascu
9 1946, Journal des deux mondes. Virginie
40 ent des troupeaux de chevaux, et des villages aux maisons de bois tristes qui s’appelaient Chantilly ou Paris mais que semblaie
41 l » si j’en crois les jeunes gens de New York… La maison qu’on me prête est une illustration de livre anglais de mon enfance :
42 vais à cinq minutes de là dîner dans la « grande maison  », résidence de style colonial en brique sang de bœuf, ornée de haute
43 e des coteaux. » On ne distingue pas encore cette maison célèbre, cachée dans les bosquets au bout d’une longue allée qui mont
44 est sa manière de se venger de W., car c’était la maison de ses ancêtres, à lui. Un vrai show place. Elle la déteste. Elle n’a
45 skies, sans se déranger. Nous traversons toute la maison , puis une large galerie ouverte, encombrée de vieux meubles et de piè
46 te le nouvel intendant. — « Je vous retrouve à la maison  ! », crie-t-elle. Et piquant son cheval, penchée sur l’encolure, elle
47 Je ne le sais pas plus que vous. Ils sont dans la maison depuis deux ou trois jours et se disent les amis de Jim. — Mais où es
10 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
48 s fameuses : Saratoga, Mohawk ou Ticonderoga. Les maisons sont presque invisibles, dissimulées à l’ombrage des pins cascadant e
49 hef de tribu politique, il possède la plupart des maisons riveraines, dont celle où je suis, la plus vieille : elle aura cent a
50 rtée de la main. D’où la méticuleuse propreté des maisons de bois blanc de cette contrée, et la rigidité de sa morale, de ses p
51 emmes d’âge moyen et leurs maris se partagent une maison que les pins nous cachent, à deux-cents pas, plus petite que la nôtre
52 ns. (Seuls les Européens de mon espèce aiment les maisons trop grandes, en Amérique). L’un des maris se nomme Robert, son père
53 Wurtemberg. Et justement nous arrivons devant une maison de bois peinte en jaune clair, ornée de géraniums aux fenêtres. C’est
54 lusieurs églises dominent de leur masse rouge les maisons de bois ou de brique d’un seul étage. Je remarque un groupe de cloche
55 e. Les passants me paraissent aussi laids que ces maisons de bois grisâtres ou vert olive, mauves ou goudron, aux parois renflé
56 rien à louer dans toute la ville. J’ai trouvé une maison à Princeton, qui est à moins d’une heure de New York, et j’irai cherc
57 ous rappellent avec sévérité que vous habitez une maison « distinguée », ces dos pleins de réprobation quand le visiteur n’est
58 trop de foreigners… Mais il faut avouer que cette maison est pleine de bruits jusqu’au 5e étage, à toutes les heures. Et dans
11 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
59 ne puis pas distinguer les noms des rues sur ces maisons jaunes ou grises et si basses. Je cherche à voir, le nez contre la vi
12 1946, Journal des deux mondes. Le mauvais temps qui vient
60 uand l’avalanche balaye tout un village sauf deux maisons , les rescapés sont-ils honteux ? Il me semble que ces scrupules ne so