1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Sur plusieurs siècles de silence « européen »
1 al ; chez Sully, surtout préoccupé de contenir la Maison d’Autriche ; et chez Émeric Crucé, pacifiste intégral, qui voudrait e
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
2 aires politiques de l’Europe et des secrets de la maison de France ; on ne peut supposer qu’un obscur avocat de province, sans
3 trois jours par année pour la jouissance de leur maison ou habitation… Les organes de la Confédération sont ensuite indiqués
4 , l’Europe est identifiée à « notre patrie, notre maison  », car tout y participe d’un même destin menacé : Maintenant, c’est
5 c’est-à-dire dans notre patrie, dans notre propre maison , dans notre siège, que nous sommes attaqués et tués.72 Vers la fin
6 noms, des fictions. Chaque cité a son roi, chaque maison a son prince.74 55. Lorsque Dante se fait l’avocat d’un Empire q
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
7 , et me semble quand on voit brusler ou tomber la maison de son voisin qu’on a subject de crainte, autant que de compassion, v
8 ’espérance d’arracher la couronne impériale de la maison d’Autriche et tous les états de Bohême, Autriche, Moravie, Silésie et
9 ressés les trônes de la justice, les trônes de la maison de David (Psaume 122, 3, 5). § 18. Et tous les tribunaux du monde fer
10 nir ou pour rétablir l’Équilibre de puissance des maisons dominantes ; Système qui jusques ici semble être le plus haut degré d
11 es Traitez. 2° L’Équilibre de puissance entre la Maison de France & la Maison d’Autriche ne sçauroit procurer de sûreté s
12 e de puissance entre la Maison de France & la Maison d’Autriche ne sçauroit procurer de sûreté suffisante ni contre les Gu
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
13 ut bien peut préserver ses États de la peste ; la maison de Brunswick n’y a pas mal réussi, grâces à Dieu ; la peste s’est arr
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
14 itié nus ? A. — Je le crois fermement ; de bonnes maisons , de bons vêtements, de la bonne chère, avec de bonnes lois et de la l
15 femme par économie, et pour avoir la paix dans la maison  ; quand nous tolérons (parce que nous sommes riches) qu’un archevêque
16 cemment la Hollande et la Suisse ont résisté à la maison d’Autriche. Que si les Polonais préfèrent à ce fédéralisme intégral
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (I)
17 et des rois de Sardaigne et de Portugal après la maison de Bourbon, dont l’un est censé d’être allié ; et dont les liaisons p
18 uropéen chère à Gentz et à Burke, rappelait cette maison décrite par Swift et qui était bâtie d’une manière si conforme au seu
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
19 e sabre ; c’est qu’on brûle les familles dans les maisons  ; c’est que telle ville, Balak, par exemple, est réduite en quelques
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
20 té affaibli et dénaturé, notre culture devint une maison divisée contre elle-même. Cette mauvaise fortune s’accompagna d’un ac
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
21 ion plus juste. Les formes de vie commune dans la maison nouvelle seront instaurées par la Constitution. Entrer ici dans les d
22 es petits groupes ethniques et les cités. Dans la maison nouvelle, on se sentira plus librement Breton, Vende, Polonais, Basqu