1
des pistes, à travers la forêt —, nous gagnons la
maison
de l’inspecteur. On la distingue de loin, seule bâtisse de pierre par
2
it confort d’abord dit refus de tout style. Cette
maison
, qui offre les commodités du plus luxueux home anglais, est monstrueu
3
ien, jeunesse… Je me suis endormi dans une grande
maison
calme aux voûtes sombres, qui est un Collège célèbre. La recherche
4
de statues dégradées et charmantes. (Vue sur des
maisons
pauvres un peu plus bas, avec du linge dans des courettes poussiéreus
5
e la petite ville aux rues de terre brûlante, aux
maisons
jaunes basses, ville sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la
6
sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la
maison
du poète, sur un coteau. Trois chambres boisées entourées d’une large
7
y est, je grimpe au cerisier sauvage, derrière la
maison
, un peintre tout en blanc arrive par les vignes, ah ! qu’il fait beau
8
st une sorte d’enivrant péché. — Nous aurions une
maison
dans ce désert aux formes tendres et déjà familières, et le passage d
9
aux sables de la plaine du Hortobágy, aux longues
maisons
jaunes immensément alignées, autour d’une place rectangulaire qui res
10
noir, piqués de petits arbres et d’un désordre de
maisons
basses, les dernières de la ville de Debrecen, au bord de la Grande P
11
oigne le premier, quand Hölderlin doit quitter la
maison
de Mme Gontard11, déchirement à peine sensible dans son œuvre. Car ce
12
escendu au bord de l’eau, un peu au-dessous de la
maison
, en attendant l’heure d’ouverture. Il y a là une station de canots de
13
ux heures. Allons. Un de ces corridors de vieille
maison
souabe, hauts et sombres, qui paraîtraient immenses s’ils n’étaient à
14
e allée sur l’île n’existait pas, en face, ni les
maisons
. Il voyait des prairies et des collines basses, de l’autre côté de l’
15
ment de deux à quatre. Une rue étouffée entre des
maisons
pointues et les contreforts de l’Église du Chapitre : je vois s’y eng
16
e à travers les reflets jaunes, roses, verts, des
maisons
à façades triangulaires. Couleurs d’un crépuscule de pluie. Plus près
17
s’en vont, et avant de disparaître au coin d’une
maison
jaune, se retournent. Ce petit monde enclos par le pont et l’écluse,
18
ent mal ? 24 avril 1929 Les habitants de la
maison
me paraissent peu nombreux, mais sait-on bien d’où il peut en sortir
19
is quelques douceurs aux abris, près d’une de ces
maisons
isolées où je ne t’amènerai jamais, à cette heure qui serait celle de
20
e après ma mort, tant que je serai encore dans la
maison
, et qu’on ne lésine pas. Il restera toujours assez, à l’époque de ma
21
t pas accomplis. Tant que je serai étendu dans la
maison
, je veux que la lumière brille dans ma chambre et dans les corridors,
22
ntrés sous le même parapluie, jusqu’à leur petite
maison
couverte de roses grimpantes. Le père est un colonel en retraite qui
23
gnal, voir le pays sous la lune, je choisirai une
maison
isolée, la plus secrète dans les arbres de son verger… pour… ? Le sai
24
rte, ma pipe et mon chien qui bougonne. La petite
maison
du colonel en retraite a des fenêtres basses, mais défendues par des
25
e chien. Un chaud soleil pénétrait dans la grande
maison
fraîche. Maintenant la journée commence, avec les pas de la servante
26
i à la psychanalyse et nous introduisait dans des
maisons
de santé pour y interroger paranoïaques et schizophrènes, en guise de
27
traversons de longs villages blancs et bleus aux
maisons
basses, des champs pauvres, des landes où le soleil qui reparaît fait
28
vers l’ouest. Sur la dernière lande, la dernière
maison
luit doucement. Nous voyons de loin sa façade blanchie, où les volets
29
leu pâle semblent peints à l’aquarelle. C’est une
maison
simplette, telle qu’en dessinent les enfants, joli rectangle clair po
30
rois mois. On m’offrait un abri quelque part, une
maison
vide pendant l’hiver, une occasion de solitude désirée en secret dès
31
ien peu pour partir : la France a des milliers de
maisons
vides. Dites autour de vous que vous en cherchez une, et vous en trou
32
és ce jardin de curé qui a juste la largeur de la
maison
. On ne voit rien que le ciel au-delà, un ciel lavé, tissé d’oiseaux,
33
s, vertes et bleues, sur les murailles rosées. La
maison
compte deux chambres au rez-de-chaussée, séparées de la cuisine par u
34
sa symétrie architecturale. Il domine toutes les
maisons
et le clocher. Il est seul au-dessus du pays. Je voudrais le dessiner
35
De trois côtés de la place généralement vide, les
maisons
s’alignent en ordre modeste, peintes en tons clairs et simples, blanc
36
i est une vieille amie des propriétaires de notre
maison
, est venue plusieurs fois nous voir. Hier, elle m’a demandé avec tout
37
mettre en boule dans la plate-bande qui borde la
maison
, sous ma fenêtre. Il soufflait très vite, il avait l’air malade. Le l
38
urs jardins. Et il ajoute : « Dès mon retour à la
maison
, j’essaierai cela. La Toscane me paraît bien gouvernée, tout y présen
39
’île) Nous sommes rentrés hier soir dans cette
maison
glaciale et humide. Il n’y avait plus de pétrole, et il était trop ta
40
ce vent qui ne cesse pas de siffler autour de la
maison
. Nous avons trouvé des noix et bu un verre de vin, à la lueur d’une b
41
dans l’harmonie de cette lande où l’homme et ses
maisons
mettent les seules verticales. Existence ramenée à ses deux dimension
42
vre beaucoup de personnes de l’île. La moitié des
maisons
sont vides, et quelques-unes déjà tombent en ruines. Et surtout ce ré
43
igne le jardin fleuri, éclate sur la façade de la
maison
plus claire que le ciel vide, et illumine la goutte rose d’une fourmi
44
le noir, et l’écho de mes pas contre les murs des
maisons
mortes. Je me glisse dans le hangar de la grosse voiture et tâte ses
45
des fragments de silhouettes d’arbres devant les
maisons
. La rumeur de la mer arrive par bouffées. Puis c’est de nouveau cet é
46
au courrier de midi, l’offre par une amie, d’une
maison
pour l’hiver prochain, dans le Gard. Autre lettre : une invitation à
47
un an bientôt que j’ai quitté Paris pour notre «
Maison
du berger ». Voici un an que je dors bien, que je travaille sans fièv
48
maines sous un ciel doux. Au nord, derrière notre
maison
, c’est le rocher, la montagne brûlée. La maison : une ancienne magnan
49
e maison, c’est le rocher, la montagne brûlée. La
maison
: une ancienne magnanerie, très haute, aux murs de gros moellons roug
50
t grand bassin rectangulaire aux eaux sombres. La
maison
du jardinier ferme la cour sur la droite, derrière des palmiers et de
51
petit exercice de rentrée terminé : « Décrivez la
maison
de vos vacances… » Ajoutons que le jardinier s’appelle Simard, « Fern
52
asset, Pernod. Et qu’il va falloir modifier cette
maison
pleine de guéridons et d’aquarelles, de telle sorte qu’on puisse y tr
53
orté d’URSS, et récemment. On me dit qu’ici trois
maisons
seulement, sur deux-cents, ont l’eau courante. Les femmes vont avec d
54
icocoulier. Bientôt un chien furieux surgit de la
maison
, suivi d’une grande femme en noir. C’est la propriétaire, Mme Turc. E
55
sortant que pour les bricolages habituels dans la
maison
. Ce matin quelqu’un sonne. Un grand jeune homme crépu se présente : i
56
s depuis longtemps avant la construction de cette
maison
… Je passe au fond dans une chambre obscure mais qui me paraît propre
57
s. » Elle accepte de venir faire une lessive à la
maison
pour remplacer sa mère. Nous manquons de corde pour étendre le linge
58
ière bonneterie, ces derniers jours. Le tiers des
maisons
est en ruine, — tout le centre. On croirait une ville bombardée. 2300
59
nnes au culte. Dans la campagne environnante, une
maison
sur dix habitée. Dès 1934, la soie japonaise a fait son apparition su
60
te noire pour découvrir enfin l’amas brunâtre des
maisons
au-dessous d’une tache blanche dans un pré, qui est le château. Joie
61
de crépuscule roussit les champs, les arbres, les
maisons
. Dans ces maisons, il y a donc des communistes. Je demande au pasteur
62
sit les champs, les arbres, les maisons. Dans ces
maisons
, il y a donc des communistes. Je demande au pasteur ce que c’est que
63
nt qu’on installe l’eau et l’électricité dans les
maisons
, etc. C’est l’élément réveillé et entreprenant de la population. — Ma
64
té rugueuse ». 8 janvier 1935 Accueil de la
maison
: le courrier passé sous la porte nageait dans une flaque d’eau de pl
65
de son amour pour les feux qui prennent mal, les
maisons
trop grandes…) 12 janvier 1935 Ces cochons-là ! — Simard le ja
66
t du vallon par un cyprès grandiloquent. Et cette
maison
couleur de terre et festonnée de tuiles roses, elle est bien à la res
67
r une espèce de malade qu’on a relégué dans cette
maison
perdue, faute de savoir comment le soigner. Un bourgeois sans fortune
68
35 La mort et les cérémonies dans le Gard. La
maison
de Simard recèle un effrayant secret qu’on m’avait laissé ignorer : u
69
… » Il est parti. Le bassin est à 50 mètres de la
maison
, sur une terrasse qu’on ne peut voir d’ici. Je ne comprends pas très
70
dit c’est bien ta fôte ! Ça aurait été dans votre
maison
qu’il y aurait eu un mort, je comprendrais, je n’aurais pas non plus
71
s laver la vaisselle quand il y a un mort dans la
maison
? Il faut bien continuer à vivre, et à manger, et à laver, il me semb
72
nt il n’y a guère à signaler. Sinon peut-être les
maisons
vides. Il faut avouer qu’on en trouve d’assez belles. Au fond d’un va
73
La rampe conduit à une vaste terrasse herbue. Une
maison
de maître d’assez beau style, ornée d’un perron à double escalier, fo
74
n solaire, surmontée d’une girouette. Derrière la
maison
de maître, sur le flanc de la montagne, un jardin en terrasses, enclo
75
ette fait entendre un long cri presque humain. La
maison
la plus proche est à une bonne demi-heure. Il n’y a pas de route. On
76
son camp. Plus tard, peut-être, quand toutes ces
maisons
vides des environs seront habitées par des colonies de jeunes gens —
77
jardin — un bras de rivière au bas du jardin — la
maison
donne sur la route en face de très grands prés, on peut pêcher. — Eau
78
es avenues luisantes et ombragées. La plupart des
maisons
à vendre ou à louer. Sur les plus belles flotte un drapeau à croix ga
79
rtiers : un ou deux par villa seulement. Mais les
maisons
des rues commerçantes et des quartiers populaires sont rouges du haut
80
p ? — Eh bien voilà : nous étions dans une grande
maison
, logeant deux par deux dans des chambres confortables. J’avais pour c
81
es chez les Allemands. Les propriétaires de notre
maison
sont ruinés. Ils n’ont plus d’autre argent liquide que celui que leur
82
opension des gens ruinés à bâtir, à agrandir leur
maison
, à perfectionner leur équipement ménager. C’est un des secrets de l’e
83
e guerre, et qui ne peut plus s’occuper que de la
maison
et des comptes de location. Il a coutume de descendre les escaliers e
84
ons vis-à-vis du régime, je l’emmène parfois à la
maison
pour bavarder. Lui. — Quoi de neuf depuis notre dernière rencontre ?
85
oble escalier, les pièces aux meubles rares de la
maison
de Goethe, plus isolée encore et plus intime dans ce temps. J’ai retr
86
lointain. Il n’est plus vivant dans la ville. Sa
maison
est un peu plus vide, — le musée un peu plus musée — et sa société et
87
doit être le discours du Führer. Personne dans la
maison
ne répond plus aux sonneries, et toutes les portes ont été fermées à
88
. Quinze jours plus tard, invité à Ferney dans la
maison
de mes amis Paulding (celle-là même que j’habiterai plus tard, dès mo
89
a crise hitléro-tchèque. Retour en Suisse dans la
maison
de mes parents, près de Neuchâtel, où je garde dans une armoire, comm
90
ng village en bordure de la route. D’un côté, les
maisons
dominaient une vallée, de l’autre elles s’élevaient à peine d’un étag
91
tissant à de vieux escaliers. Une seule rangée de
maisons
à traverser, et l’on parvient dans la grand-rue : comme elle est vide
92
end à droite vers la plaine, escortée de quelques
maisons
; l’autre s’incline lentement vers la vallée, dans les vergers. Nous
93
cette éventualité. Voici le plan de la ville, les
maisons
, les étages et les noms de ces messieurs, indiqués avec précision. Fo
94
étonné. Mais nous avons installé un canon dans la
maison
d’en face. L’ordre récemment donné aux étrangers de déposer leurs arm
95
n exercice pour rester maître de soi-même. Petite
maison
louée à mi-pente du Gurten. Au-dessous, des cités-jardins et des usin
96
ra, et au-delà se passe la guerre. Derrière notre
maison
, des prairies montent jusqu’aux lisières de la forêt de sapins couron
97
st le lieutenant-colonel M… qui m’accompagne à la
maison
, en voiture. J’attends deux heures. Breakfast. Une auto militaire vie
98
on colonel se présente à la porte de notre petite
maison
du Gurten. Je prends la position. Il tient dans chaque main un petit
99
l’armée et la Ligue civile : le sergent L…81. Une
maison
de Berne, à double entrée, nous permet des contacts discrets avec les
100
e, pourquoi on a coulé ce bateau, et pourquoi ces
maisons
des boulevards n’ont pas de fenêtres et des trous partout dans leurs
101
rmanentes. Traces de balles aux façades et pas de
maisons
derrière, en pleine Avenida centrale. Ici, l’on n’essaie plus de maqu
102
ation assiste à ce repas, massée sur le seuil des
maisons
blanches, rosies et bleuies par un merveilleux couchant. Des enfants
103
arbres si riches, touffus et un peu fous ! Et ces
maisons
coloniales espacées, si intimes semble-t-il derrière leurs grands por
104
t quelques rues des quartiers nègres, dont chaque
maison
de brique s’orne de quatre marches de bois blanc, couvertes de bébés
105
e 1940 Religion. — Nous sommes en quête d’une
maison
dans la banlieue de Manhattan. Les prospectus que je reçois ne manque
106
à quoi je vais m’appliquer, tout en cherchant une
maison
; car tout cela me prendra plus de temps que ceux qui m’envoient ne l
107
au coupe-papier. 15 novembre 1940 Trouvé la
maison
, signé le bail sur l’heure et nous nous installons demain, avec des m
108
rte une couronne de sapin enrubannée, dans chaque
maison
, près de la fenêtre, un petit arbre où des lampes électriques multico
109
On parlerait de Cinquième Colonne à propos de ma
maison
et de vous-même. — Savez-vous que mon livre est sur la liste noire de
110
ulent rien savoir… Beaucoup là-bas ont perdu leur
maison
, et c’était leur pays et leur enfance, ils n’ont plus envie de bâtir.
111
aibles ou nulles… 16 février 1941 Seul à la
maison
depuis deux jours. Je n’en suis sorti que pour racler et déblayer la
112
Wystan Auden, à Brooklyn Heights. Haute et sombre
maison
de briques, trois étages reliés par un escalier de bois portant les m
113
les forêts de bouleaux ; à Concord où j’ai vu la
maison
d’Emerson, ses chapeaux et ses cannes accrochés dans le hall, la cham
114
oduit là. Le mari trompé prend sa hache, coupe la
maison
, rebâtit deux cloisons. Les indigènes sont des métis de nègres et d’H
115
e rien de ce que j’ai vu dans les États-Unis. Les
maisons
ont des numéros qui indiquent à un mètre près la distance de leur por
116
mètres. Victoria Ocampo, royalement, m’a prêté sa
maison
de ville où je vis seul, comblé, mélancolique. Grande maison blanche,
117
ille où je vis seul, comblé, mélancolique. Grande
maison
blanche, aux halls jonchés de peaux de vache noire et blanche, et don
118
i-diable ! Dès que le compère est signalé dans la
maison
, je mets en circulation l’objet que vous voyez. Chaque employé doit l
119
ien ne pousse naturellement que l’herbe grise. La
maison
de maître se découvre enfin, isolée dans ces immensités, au milieu d’
120
ar cette porte-fenêtre ouvrant sur la prairie. La
maison
très longue et très basse — une enfilade de chambres accolées comme l
121
la campagne avec un couple ami qui cherchait une
maison
à vendre, et dans une ferme où nous entrons pour quêter quelque infor
122
rès de Greenwich village90, au haut d’une vieille
maison
de pierre brune, et quitté non sans soulagement mon hôtel. Un planche
123
, je domine le toit plat, formant terrasse, d’une
maison
de trois étages qui est un couvent. Les nonnes deux par deux vont et
124
uie de mon adolescence, au péristyle de la grande
maison
. L’odeur des marronniers, les gouttes le long de la balustrade de fer
125
le part. Et j’ai songé à cette autre retraite, la
maison
rose de « La Muette », où Ramuz lui aussi laisse venir ceux qui lui a
126
Huit jours de vacances à la mer. Je partage cette
maison
de bois, au bord du Sound, avec les Saint-Exupéry. Parties d’échecs s
127
d, fin septembre 1942 Bevin House. — Nouvelle
maison
à la campagne, à deux heures de New York, avec les Saint-Ex. J’y pass
128
r… Bevin House, fin octobre 1942 Dans cette
maison
d’il y a longtemps, un peu semblable à celles de mon enfance, en marg
129
terrasse vertigineuse, je domine toute proche la
maison
des Max Ernst, dont l’atelier s’avance en éperon vers la rivière ; et
130
éperon vers la rivière ; et presque contiguë, la
maison
des Saint-Exupéry : quatre étages étroits, qui furent naguère meublés
131
dans une ville où personne n’en veut. Les grandes
maisons
les mettent mal à l’aise, parce qu’ils pensent tout de suite à leur u
132
ires. L’idéal de l’Américain serait sans doute la
maison
d’une seule pièce, avec au centre un grand fauteuil tournant et bascu
133
lding, l’étage supérieur formant comme une petite
maison
en soi, posée sur les terrasses. 94. Je n’oublie pas celui du généra
134
ent des troupeaux de chevaux, et des villages aux
maisons
de bois tristes qui s’appelaient Chantilly ou Paris mais que semblaie
135
l » si j’en crois les jeunes gens de New York… La
maison
qu’on me prête est une illustration de livre anglais de mon enfance :
136
vais à cinq minutes de là dîner dans la « grande
maison
», résidence de style colonial en brique sang de bœuf, ornée de haute
137
e des coteaux. » On ne distingue pas encore cette
maison
célèbre, cachée dans les bosquets au bout d’une longue allée qui mont
138
est sa manière de se venger de W…, car c’était la
maison
de ses ancêtres, à lui. Un vrai show place. Elle la déteste. Elle n’a
139
skies, sans se déranger. Nous traversons toute la
maison
, puis une large galerie ouverte, encombrée de vieux meubles et de piè
140
oute le nouvel intendant. « Je vous retrouve à la
maison
! », crie-t-elle. Et piquant son cheval, penchée sur l’encolure, elle
141
Je ne le sais pas plus que vous. Ils sont dans la
maison
depuis deux ou trois jours et se disent les amis de Jim. — Mais où es
142
s fameuses : Saratoga, Mohawk ou Ticonderoga. Les
maisons
sont presque invisibles, dissimulées à l’ombrage des pins cascadant e
143
hef de tribu politique, il possède la plupart des
maisons
riveraines, dont celle où je suis, la plus vieille : elle aura cent a
144
rtée de la main. D’où la méticuleuse propreté des
maisons
de bois blanc de cette contrée, et la rigidité de sa morale, de ses p
145
emmes d’âge moyen et leurs maris se partagent une
maison
que les pins nous cachent, à deux-cents pas, plus petite que la nôtre
146
ns. (Seuls les Européens de mon espèce aiment les
maisons
trop grandes, en Amérique.) L’un des maris se nomme Robert, son père
147
Wurtemberg. Et justement nous arrivons devant une
maison
de bois peinte en jaune clair, ornée de géraniums aux fenêtres. C’est
148
lusieurs églises dominent de leur masse rouge les
maisons
de bois ou de brique d’un seul étage. Je remarque un groupe de cloche
149
e. Les passants me paraissent aussi laids que ces
maisons
de bois grisâtres ou vert olive, mauves ou goudron, aux parois renflé
150
force d’imiter. Lake George, 3 août 1945 La
maison
qui ne paraît pas grande de l’extérieur, quand on arrive par la forêt
151
rien à louer dans toute la ville. J’ai trouvé une
maison
à Princeton, qui est à moins d’une heure de New York, et j’irai cherc
152
ous rappellent avec sévérité que vous habitez une
maison
« distinguée », ces dos pleins de réprobation quand le visiteur n’est
153
trop de foreigners… Mais il faut avouer que cette
maison
-ci est pleine de bruit jusqu’au cinquième étage, à toutes les heures.
154
ne puis pas distinguer les noms des rues sur ces
maisons
jaunes ou grises et si basses. Je cherche à voir, le nez contre la vi
155
uand l’avalanche balaye tout un village sauf deux
maisons
, les rescapés sont-ils honteux ? Il me semble que ces scrupules ne so