1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
1 des pistes, à travers la forêt —, nous gagnons la maison de l’inspecteur. On la distingue de loin, seule bâtisse de pierre par
2 it confort d’abord dit refus de tout style. Cette maison , qui offre les commodités du plus luxueux home anglais, est monstrueu
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
3 ien, jeunesse… Je me suis endormi dans une grande maison calme aux voûtes sombres, qui est un Collège célèbre. La recherche
4 de statues dégradées et charmantes. (Vue sur des maisons pauvres un peu plus bas, avec du linge dans des courettes poussiéreus
5 e la petite ville aux rues de terre brûlante, aux maisons jaunes basses, ville sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la
6 sans ombre, sans arbres, et nous montons vers la maison du poète, sur un coteau. Trois chambres boisées entourées d’une large
7 y est, je grimpe au cerisier sauvage, derrière la maison , un peintre tout en blanc arrive par les vignes, ah ! qu’il fait beau
8 st une sorte d’enivrant péché. — Nous aurions une maison dans ce désert aux formes tendres et déjà familières, et le passage d
9 aux sables de la plaine du Hortobágy, aux longues maisons jaunes immensément alignées, autour d’une place rectangulaire qui res
10 noir, piqués de petits arbres et d’un désordre de maisons basses, les dernières de la ville de Debrecen, au bord de la Grande P
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — La tour de Hölderlin
11 oigne le premier, quand Hölderlin doit quitter la maison de Mme Gontard11, déchirement à peine sensible dans son œuvre. Car ce
12 escendu au bord de l’eau, un peu au-dessous de la maison , en attendant l’heure d’ouverture. Il y a là une station de canots de
13 ux heures. Allons. Un de ces corridors de vieille maison souabe, hauts et sombres, qui paraîtraient immenses s’ils n’étaient à
14 e allée sur l’île n’existait pas, en face, ni les maisons . Il voyait des prairies et des collines basses, de l’autre côté de l’
15 ment de deux à quatre. Une rue étouffée entre des maisons pointues et les contreforts de l’Église du Chapitre : je vois s’y eng
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
16 e à travers les reflets jaunes, roses, verts, des maisons à façades triangulaires. Couleurs d’un crépuscule de pluie. Plus près
17 s’en vont, et avant de disparaître au coin d’une maison jaune, se retournent. Ce petit monde enclos par le pont et l’écluse,
18 ent mal ? 24 avril 1929 Les habitants de la maison me paraissent peu nombreux, mais sait-on bien d’où il peut en sortir
19 is quelques douceurs aux abris, près d’une de ces maisons isolées où je ne t’amènerai jamais, à cette heure qui serait celle de
20 e après ma mort, tant que je serai encore dans la maison , et qu’on ne lésine pas. Il restera toujours assez, à l’époque de ma
21 t pas accomplis. Tant que je serai étendu dans la maison , je veux que la lumière brille dans ma chambre et dans les corridors,
22 ntrés sous le même parapluie, jusqu’à leur petite maison couverte de roses grimpantes. Le père est un colonel en retraite qui
23 gnal, voir le pays sous la lune, je choisirai une maison isolée, la plus secrète dans les arbres de son verger… pour… ? Le sai
24 rte, ma pipe et mon chien qui bougonne. La petite maison du colonel en retraite a des fenêtres basses, mais défendues par des
25 e chien. Un chaud soleil pénétrait dans la grande maison fraîche. Maintenant la journée commence, avec les pas de la servante
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
26 i à la psychanalyse et nous introduisait dans des maisons de santé pour y interroger paranoïaques et schizophrènes, en guise de
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Préambule
27 traversons de longs villages blancs et bleus aux maisons basses, des champs pauvres, des landes où le soleil qui reparaît fait
28 vers l’ouest. Sur la dernière lande, la dernière maison luit doucement. Nous voyons de loin sa façade blanchie, où les volets
29 leu pâle semblent peints à l’aquarelle. C’est une maison simplette, telle qu’en dessinent les enfants, joli rectangle clair po
30 rois mois. On m’offrait un abri quelque part, une maison vide pendant l’hiver, une occasion de solitude désirée en secret dès
31 ien peu pour partir : la France a des milliers de maisons vides. Dites autour de vous que vous en cherchez une, et vous en trou
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
32 és ce jardin de curé qui a juste la largeur de la maison . On ne voit rien que le ciel au-delà, un ciel lavé, tissé d’oiseaux,
33 s, vertes et bleues, sur les murailles rosées. La maison compte deux chambres au rez-de-chaussée, séparées de la cuisine par u
34 sa symétrie architecturale. Il domine toutes les maisons et le clocher. Il est seul au-dessus du pays. Je voudrais le dessiner
35 De trois côtés de la place généralement vide, les maisons s’alignent en ordre modeste, peintes en tons clairs et simples, blanc
36 i est une vieille amie des propriétaires de notre maison , est venue plusieurs fois nous voir. Hier, elle m’a demandé avec tout
37 mettre en boule dans la plate-bande qui borde la maison , sous ma fenêtre. Il soufflait très vite, il avait l’air malade. Le l
38 urs jardins. Et il ajoute : « Dès mon retour à la maison , j’essaierai cela. La Toscane me paraît bien gouvernée, tout y présen
39 ’île) Nous sommes rentrés hier soir dans cette maison glaciale et humide. Il n’y avait plus de pétrole, et il était trop ta
40 ce vent qui ne cesse pas de siffler autour de la maison . Nous avons trouvé des noix et bu un verre de vin, à la lueur d’une b
41 dans l’harmonie de cette lande où l’homme et ses maisons mettent les seules verticales. Existence ramenée à ses deux dimension
42 vre beaucoup de personnes de l’île. La moitié des maisons sont vides, et quelques-unes déjà tombent en ruines. Et surtout ce ré
43 igne le jardin fleuri, éclate sur la façade de la maison plus claire que le ciel vide, et illumine la goutte rose d’une fourmi
44 le noir, et l’écho de mes pas contre les murs des maisons mortes. Je me glisse dans le hangar de la grosse voiture et tâte ses
45 des fragments de silhouettes d’arbres devant les maisons . La rumeur de la mer arrive par bouffées. Puis c’est de nouveau cet é
46 au courrier de midi, l’offre par une amie, d’une maison pour l’hiver prochain, dans le Gard. Autre lettre : une invitation à
47 un an bientôt que j’ai quitté Paris pour notre «  Maison du berger ». Voici un an que je dors bien, que je travaille sans fièv
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
48 maines sous un ciel doux. Au nord, derrière notre maison , c’est le rocher, la montagne brûlée. La maison : une ancienne magnan
49 e maison, c’est le rocher, la montagne brûlée. La maison  : une ancienne magnanerie, très haute, aux murs de gros moellons roug
50 t grand bassin rectangulaire aux eaux sombres. La maison du jardinier ferme la cour sur la droite, derrière des palmiers et de
51 petit exercice de rentrée terminé : « Décrivez la maison de vos vacances… » Ajoutons que le jardinier s’appelle Simard, « Fern
52 asset, Pernod. Et qu’il va falloir modifier cette maison pleine de guéridons et d’aquarelles, de telle sorte qu’on puisse y tr
53 orté d’URSS, et récemment. On me dit qu’ici trois maisons seulement, sur deux-cents, ont l’eau courante. Les femmes vont avec d
54 icocoulier. Bientôt un chien furieux surgit de la maison , suivi d’une grande femme en noir. C’est la propriétaire, Mme Turc. E
55 sortant que pour les bricolages habituels dans la maison . Ce matin quelqu’un sonne. Un grand jeune homme crépu se présente : i
56 s depuis longtemps avant la construction de cette maison … Je passe au fond dans une chambre obscure mais qui me paraît propre
57 s. » Elle accepte de venir faire une lessive à la maison pour remplacer sa mère. Nous manquons de corde pour étendre le linge 
58 ière bonneterie, ces derniers jours. Le tiers des maisons est en ruine, — tout le centre. On croirait une ville bombardée. 2300
59 nnes au culte. Dans la campagne environnante, une maison sur dix habitée. Dès 1934, la soie japonaise a fait son apparition su
60 te noire pour découvrir enfin l’amas brunâtre des maisons au-dessous d’une tache blanche dans un pré, qui est le château. Joie
61 de crépuscule roussit les champs, les arbres, les maisons . Dans ces maisons, il y a donc des communistes. Je demande au pasteur
62 sit les champs, les arbres, les maisons. Dans ces maisons , il y a donc des communistes. Je demande au pasteur ce que c’est que
63 nt qu’on installe l’eau et l’électricité dans les maisons , etc. C’est l’élément réveillé et entreprenant de la population. — Ma
64 té rugueuse ». 8 janvier 1935 Accueil de la maison  : le courrier passé sous la porte nageait dans une flaque d’eau de pl
65 de son amour pour les feux qui prennent mal, les maisons trop grandes…) 12 janvier 1935 Ces cochons-là ! — Simard le ja
66 t du vallon par un cyprès grandiloquent. Et cette maison couleur de terre et festonnée de tuiles roses, elle est bien à la res
67 r une espèce de malade qu’on a relégué dans cette maison perdue, faute de savoir comment le soigner. Un bourgeois sans fortune
68 35 La mort et les cérémonies dans le Gard. La maison de Simard recèle un effrayant secret qu’on m’avait laissé ignorer : u
69 … » Il est parti. Le bassin est à 50 mètres de la maison , sur une terrasse qu’on ne peut voir d’ici. Je ne comprends pas très
70 dit c’est bien ta fôte ! Ça aurait été dans votre maison qu’il y aurait eu un mort, je comprendrais, je n’aurais pas non plus
71 s laver la vaisselle quand il y a un mort dans la maison  ? Il faut bien continuer à vivre, et à manger, et à laver, il me semb
72 nt il n’y a guère à signaler. Sinon peut-être les maisons vides. Il faut avouer qu’on en trouve d’assez belles. Au fond d’un va
73 La rampe conduit à une vaste terrasse herbue. Une maison de maître d’assez beau style, ornée d’un perron à double escalier, fo
74 n solaire, surmontée d’une girouette. Derrière la maison de maître, sur le flanc de la montagne, un jardin en terrasses, enclo
75 ette fait entendre un long cri presque humain. La maison la plus proche est à une bonne demi-heure. Il n’y a pas de route. On
76 son camp. Plus tard, peut-être, quand toutes ces maisons vides des environs seront habitées par des colonies de jeunes gens — 
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
77 jardin — un bras de rivière au bas du jardin — la maison donne sur la route en face de très grands prés, on peut pêcher. — Eau
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
78 es avenues luisantes et ombragées. La plupart des maisons à vendre ou à louer. Sur les plus belles flotte un drapeau à croix ga
79 rtiers : un ou deux par villa seulement. Mais les maisons des rues commerçantes et des quartiers populaires sont rouges du haut
80 p ? — Eh bien voilà : nous étions dans une grande maison , logeant deux par deux dans des chambres confortables. J’avais pour c
81 es chez les Allemands. Les propriétaires de notre maison sont ruinés. Ils n’ont plus d’autre argent liquide que celui que leur
82 opension des gens ruinés à bâtir, à agrandir leur maison , à perfectionner leur équipement ménager. C’est un des secrets de l’e
83 e guerre, et qui ne peut plus s’occuper que de la maison et des comptes de location. Il a coutume de descendre les escaliers e
84 ons vis-à-vis du régime, je l’emmène parfois à la maison pour bavarder. Lui. — Quoi de neuf depuis notre dernière rencontre ?
85 oble escalier, les pièces aux meubles rares de la maison de Goethe, plus isolée encore et plus intime dans ce temps. J’ai retr
86 lointain. Il n’est plus vivant dans la ville. Sa maison est un peu plus vide, — le musée un peu plus musée — et sa société et
87 doit être le discours du Führer. Personne dans la maison ne répond plus aux sonneries, et toutes les portes ont été fermées à
11 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
88 . Quinze jours plus tard, invité à Ferney dans la maison de mes amis Paulding (celle-là même que j’habiterai plus tard, dès mo
89 a crise hitléro-tchèque. Retour en Suisse dans la maison de mes parents, près de Neuchâtel, où je garde dans une armoire, comm
12 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
90 ng village en bordure de la route. D’un côté, les maisons dominaient une vallée, de l’autre elles s’élevaient à peine d’un étag
91 tissant à de vieux escaliers. Une seule rangée de maisons à traverser, et l’on parvient dans la grand-rue : comme elle est vide
92 end à droite vers la plaine, escortée de quelques maisons  ; l’autre s’incline lentement vers la vallée, dans les vergers. Nous
93 cette éventualité. Voici le plan de la ville, les maisons , les étages et les noms de ces messieurs, indiqués avec précision. Fo
94 étonné. Mais nous avons installé un canon dans la maison d’en face. L’ordre récemment donné aux étrangers de déposer leurs arm
95 n exercice pour rester maître de soi-même. Petite maison louée à mi-pente du Gurten. Au-dessous, des cités-jardins et des usin
96 ra, et au-delà se passe la guerre. Derrière notre maison , des prairies montent jusqu’aux lisières de la forêt de sapins couron
97 st le lieutenant-colonel M… qui m’accompagne à la maison , en voiture. J’attends deux heures. Breakfast. Une auto militaire vie
98 on colonel se présente à la porte de notre petite maison du Gurten. Je prends la position. Il tient dans chaque main un petit
99 l’armée et la Ligue civile : le sergent L…81. Une maison de Berne, à double entrée, nous permet des contacts discrets avec les
13 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
100 e, pourquoi on a coulé ce bateau, et pourquoi ces maisons des boulevards n’ont pas de fenêtres et des trous partout dans leurs
101 rmanentes. Traces de balles aux façades et pas de maisons derrière, en pleine Avenida centrale. Ici, l’on n’essaie plus de maqu
102 ation assiste à ce repas, massée sur le seuil des maisons blanches, rosies et bleuies par un merveilleux couchant. Des enfants
103 arbres si riches, touffus et un peu fous ! Et ces maisons coloniales espacées, si intimes semble-t-il derrière leurs grands por
14 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
104 t quelques rues des quartiers nègres, dont chaque maison de brique s’orne de quatre marches de bois blanc, couvertes de bébés
105 e 1940 Religion. — Nous sommes en quête d’une maison dans la banlieue de Manhattan. Les prospectus que je reçois ne manque
106 à quoi je vais m’appliquer, tout en cherchant une maison  ; car tout cela me prendra plus de temps que ceux qui m’envoient ne l
107 au coupe-papier. 15 novembre 1940 Trouvé la maison , signé le bail sur l’heure et nous nous installons demain, avec des m
108 rte une couronne de sapin enrubannée, dans chaque maison , près de la fenêtre, un petit arbre où des lampes électriques multico
109 On parlerait de Cinquième Colonne à propos de ma maison et de vous-même. — Savez-vous que mon livre est sur la liste noire de
110 ulent rien savoir… Beaucoup là-bas ont perdu leur maison , et c’était leur pays et leur enfance, ils n’ont plus envie de bâtir.
111 aibles ou nulles… 16 février 1941 Seul à la maison depuis deux jours. Je n’en suis sorti que pour racler et déblayer la
112 Wystan Auden, à Brooklyn Heights. Haute et sombre maison de briques, trois étages reliés par un escalier de bois portant les m
113 les forêts de bouleaux ; à Concord où j’ai vu la maison d’Emerson, ses chapeaux et ses cannes accrochés dans le hall, la cham
15 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
114 oduit là. Le mari trompé prend sa hache, coupe la maison , rebâtit deux cloisons. Les indigènes sont des métis de nègres et d’H
115 e rien de ce que j’ai vu dans les États-Unis. Les maisons ont des numéros qui indiquent à un mètre près la distance de leur por
116 mètres. Victoria Ocampo, royalement, m’a prêté sa maison de ville où je vis seul, comblé, mélancolique. Grande maison blanche,
117 ille où je vis seul, comblé, mélancolique. Grande maison blanche, aux halls jonchés de peaux de vache noire et blanche, et don
118 i-diable ! Dès que le compère est signalé dans la maison , je mets en circulation l’objet que vous voyez. Chaque employé doit l
119 ien ne pousse naturellement que l’herbe grise. La maison de maître se découvre enfin, isolée dans ces immensités, au milieu d’
120 ar cette porte-fenêtre ouvrant sur la prairie. La maison très longue et très basse — une enfilade de chambres accolées comme l
16 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
121 la campagne avec un couple ami qui cherchait une maison à vendre, et dans une ferme où nous entrons pour quêter quelque infor
122 rès de Greenwich village90, au haut d’une vieille maison de pierre brune, et quitté non sans soulagement mon hôtel. Un planche
123 , je domine le toit plat, formant terrasse, d’une maison de trois étages qui est un couvent. Les nonnes deux par deux vont et
124 uie de mon adolescence, au péristyle de la grande maison . L’odeur des marronniers, les gouttes le long de la balustrade de fer
125 le part. Et j’ai songé à cette autre retraite, la maison rose de « La Muette », où Ramuz lui aussi laisse venir ceux qui lui a
126 Huit jours de vacances à la mer. Je partage cette maison de bois, au bord du Sound, avec les Saint-Exupéry. Parties d’échecs s
127 d, fin septembre 1942 Bevin House. — Nouvelle maison à la campagne, à deux heures de New York, avec les Saint-Ex. J’y pass
128 r… Bevin House, fin octobre 1942 Dans cette maison d’il y a longtemps, un peu semblable à celles de mon enfance, en marg
17 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
129 terrasse vertigineuse, je domine toute proche la maison des Max Ernst, dont l’atelier s’avance en éperon vers la rivière ; et
130 éperon vers la rivière ; et presque contiguë, la maison des Saint-Exupéry : quatre étages étroits, qui furent naguère meublés
131 dans une ville où personne n’en veut. Les grandes maisons les mettent mal à l’aise, parce qu’ils pensent tout de suite à leur u
132 ires. L’idéal de l’Américain serait sans doute la maison d’une seule pièce, avec au centre un grand fauteuil tournant et bascu
133 lding, l’étage supérieur formant comme une petite maison en soi, posée sur les terrasses. 94. Je n’oublie pas celui du généra
18 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
134 ent des troupeaux de chevaux, et des villages aux maisons de bois tristes qui s’appelaient Chantilly ou Paris mais que semblaie
135 l » si j’en crois les jeunes gens de New York… La maison qu’on me prête est une illustration de livre anglais de mon enfance :
136 vais à cinq minutes de là dîner dans la « grande maison  », résidence de style colonial en brique sang de bœuf, ornée de haute
137 e des coteaux. » On ne distingue pas encore cette maison célèbre, cachée dans les bosquets au bout d’une longue allée qui mont
138 est sa manière de se venger de W…, car c’était la maison de ses ancêtres, à lui. Un vrai show place. Elle la déteste. Elle n’a
139 skies, sans se déranger. Nous traversons toute la maison , puis une large galerie ouverte, encombrée de vieux meubles et de piè
140 oute le nouvel intendant. « Je vous retrouve à la maison  ! », crie-t-elle. Et piquant son cheval, penchée sur l’encolure, elle
141 Je ne le sais pas plus que vous. Ils sont dans la maison depuis deux ou trois jours et se disent les amis de Jim. — Mais où es
19 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
142 s fameuses : Saratoga, Mohawk ou Ticonderoga. Les maisons sont presque invisibles, dissimulées à l’ombrage des pins cascadant e
143 hef de tribu politique, il possède la plupart des maisons riveraines, dont celle où je suis, la plus vieille : elle aura cent a
144 rtée de la main. D’où la méticuleuse propreté des maisons de bois blanc de cette contrée, et la rigidité de sa morale, de ses p
145 emmes d’âge moyen et leurs maris se partagent une maison que les pins nous cachent, à deux-cents pas, plus petite que la nôtre
146 ns. (Seuls les Européens de mon espèce aiment les maisons trop grandes, en Amérique.) L’un des maris se nomme Robert, son père
147 Wurtemberg. Et justement nous arrivons devant une maison de bois peinte en jaune clair, ornée de géraniums aux fenêtres. C’est
148 lusieurs églises dominent de leur masse rouge les maisons de bois ou de brique d’un seul étage. Je remarque un groupe de cloche
149 e. Les passants me paraissent aussi laids que ces maisons de bois grisâtres ou vert olive, mauves ou goudron, aux parois renflé
150 force d’imiter. Lake George, 3 août 1945 La maison qui ne paraît pas grande de l’extérieur, quand on arrive par la forêt
151 rien à louer dans toute la ville. J’ai trouvé une maison à Princeton, qui est à moins d’une heure de New York, et j’irai cherc
152 ous rappellent avec sévérité que vous habitez une maison « distinguée », ces dos pleins de réprobation quand le visiteur n’est
153 trop de foreigners… Mais il faut avouer que cette maison -ci est pleine de bruit jusqu’au cinquième étage, à toutes les heures.
20 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
154 ne puis pas distinguer les noms des rues sur ces maisons jaunes ou grises et si basses. Je cherche à voir, le nez contre la vi
21 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le mauvais temps qui vient
155 uand l’avalanche balaye tout un village sauf deux maisons , les rescapés sont-ils honteux ? Il me semble que ces scrupules ne so